Le processus DDR version Fidèle Sarassoro est en marche depuis seulement octobre 2012. La mise en œuvre du processus n’est pas sans difficulté.
La première difficulté à laquelle est confrontée l’ADDR est l’impatience des démobilisés. Cette impatience n’est pas sans conséquence dans le bon déroulement du processus. En effet, à chaque fois que les démobilisés manifestent leur impatience d’être vite réinsérés et réintégrés, cela se solde par des actions de violence sur le terrain qui freinent quelque peu le processus.
« On a l’impression que le processus est lent, parce que nous voulons extirper des listes des faux ex-combattants. Toutes les précautions sont prises pour que seuls les vrais ex combattants bénéficient des actions de l’ADDR », explique Fidèle Sarassoro.
ZC
La première difficulté à laquelle est confrontée l’ADDR est l’impatience des démobilisés. Cette impatience n’est pas sans conséquence dans le bon déroulement du processus. En effet, à chaque fois que les démobilisés manifestent leur impatience d’être vite réinsérés et réintégrés, cela se solde par des actions de violence sur le terrain qui freinent quelque peu le processus.
« On a l’impression que le processus est lent, parce que nous voulons extirper des listes des faux ex-combattants. Toutes les précautions sont prises pour que seuls les vrais ex combattants bénéficient des actions de l’ADDR », explique Fidèle Sarassoro.
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