L’agence nationale d’appui au développement rural a décidé d’ouvrir une délégation régionale à San Pedro, la capitale de la région du sud-ouest, en vue de rapprocher ses services du monde paysan de cette région aux énormes potentialités agricoles, a appris, samedi, l’AIP.
Jusque-là, l’Anader opérait dans la vaste région de San Pedro, où sont cultivées les cultures pérennes, le binôme café-cacao, l’hévéa, le palmier à huile, le coco, mais aussi les cultures vivrières et maraîchères notamment le riz, par le biais de sa zone dont l’actuel chef est Comoé Bernabé. Zone qui dépendait de la délégation régionale du centre-ouest (Daloa).
Il y a quelques mois de cela, à l’occasion de la cérémonie d’inauguration du nouveau siège de la zone Anader de San Pedro, sis au quartier Zone, le préfet de région et du département de San Pedro, d’alors, Jacques N’Guessan Obouo, avait plaidé auprès de la haute hiérarchie de l’Anader afin que San Pedro puisse disposer d’une délégation régionale, au vu de ses énormes potentialités économiques et surtout agricoles, dans l’optique de rapprocher ses services des paysans locaux.
Aujourd’hui, c’est donc chose faite, les doléances du préfet Obouo, entre temps remplacé par le préfet militaire, Ousmane Coulibaly, ont reçu un écho favorable, surtout avec la nomination de Coulibaly Amadou, ingénieur agronome, précédemment coordonnateur technique à Daloa, comme directeur régional Anader à San Pedro, indique-t-on. La zone Anader de San Pedro, désormais chapeautée par la nouvelle délégation régionale qui vient d’être créée, mène d’intenses activités.
Ainsi, au cours de l’exercice 2012, elle a appuyé quelque 46.146 exploitants agricoles dont 2336 femmes et 18 940 jeunes à assurer l’entretien de 246.725 hectrares de plantations de cacao dans le département de San Pedro. Organisme public assurant le conseil agricole, à travers des contrats publics et privés, la zone Anader San Pedro a en outre appuyé 15.947 exploitants dont 1.094 femmes et 8.968 jeunes, qui ont traité 21.874 ha contre les myrides, ainsi que 12.345 exploitants dont 617 femmes et 6145 jeunes à traiter également 30.977 ha contre la pourriture brune.
Ce partenaire privilégié du monde rural a aussi aidé des producteurs dans la pérennisation de la caféiculture. Toute chose qui embellit le bilan des activités menées par cette structure dans le strict respect des engagements contenus dans le programme de travail et budget annuel 2012.
Il ressort par ailleurs de ce bilan des activités 2012, qu’au niveau du vivrier, notamment de la riziculture dont l’importance dans la sécurité alimentaire et la lutte contre la pauvreté en milieu rural est indéniable, la zone qui sait que le développement de ce secteur s’avère être nécessaire, s’est attelée à mettre en œuvre les activités de développement en encadrant plusieurs producteurs qui ont récolté 15.271 tonnes de paddy en 2012.
La zone de San Pedro a également encadré des paysans dans le domaine de la production animale et des ressources halieutiques, puis a mené des activités de lutte contre le VIH/Sida, en milieu rural, dans le cadre du programme Pepfar/Anader.
Jusque-là, l’Anader opérait dans la vaste région de San Pedro, où sont cultivées les cultures pérennes, le binôme café-cacao, l’hévéa, le palmier à huile, le coco, mais aussi les cultures vivrières et maraîchères notamment le riz, par le biais de sa zone dont l’actuel chef est Comoé Bernabé. Zone qui dépendait de la délégation régionale du centre-ouest (Daloa).
Il y a quelques mois de cela, à l’occasion de la cérémonie d’inauguration du nouveau siège de la zone Anader de San Pedro, sis au quartier Zone, le préfet de région et du département de San Pedro, d’alors, Jacques N’Guessan Obouo, avait plaidé auprès de la haute hiérarchie de l’Anader afin que San Pedro puisse disposer d’une délégation régionale, au vu de ses énormes potentialités économiques et surtout agricoles, dans l’optique de rapprocher ses services des paysans locaux.
Aujourd’hui, c’est donc chose faite, les doléances du préfet Obouo, entre temps remplacé par le préfet militaire, Ousmane Coulibaly, ont reçu un écho favorable, surtout avec la nomination de Coulibaly Amadou, ingénieur agronome, précédemment coordonnateur technique à Daloa, comme directeur régional Anader à San Pedro, indique-t-on. La zone Anader de San Pedro, désormais chapeautée par la nouvelle délégation régionale qui vient d’être créée, mène d’intenses activités.
Ainsi, au cours de l’exercice 2012, elle a appuyé quelque 46.146 exploitants agricoles dont 2336 femmes et 18 940 jeunes à assurer l’entretien de 246.725 hectrares de plantations de cacao dans le département de San Pedro. Organisme public assurant le conseil agricole, à travers des contrats publics et privés, la zone Anader San Pedro a en outre appuyé 15.947 exploitants dont 1.094 femmes et 8.968 jeunes, qui ont traité 21.874 ha contre les myrides, ainsi que 12.345 exploitants dont 617 femmes et 6145 jeunes à traiter également 30.977 ha contre la pourriture brune.
Ce partenaire privilégié du monde rural a aussi aidé des producteurs dans la pérennisation de la caféiculture. Toute chose qui embellit le bilan des activités menées par cette structure dans le strict respect des engagements contenus dans le programme de travail et budget annuel 2012.
Il ressort par ailleurs de ce bilan des activités 2012, qu’au niveau du vivrier, notamment de la riziculture dont l’importance dans la sécurité alimentaire et la lutte contre la pauvreté en milieu rural est indéniable, la zone qui sait que le développement de ce secteur s’avère être nécessaire, s’est attelée à mettre en œuvre les activités de développement en encadrant plusieurs producteurs qui ont récolté 15.271 tonnes de paddy en 2012.
La zone de San Pedro a également encadré des paysans dans le domaine de la production animale et des ressources halieutiques, puis a mené des activités de lutte contre le VIH/Sida, en milieu rural, dans le cadre du programme Pepfar/Anader.
