San Pedro – Une intoxication alimentaire engendrée par la consommation du "poisson-perroquet", a fait deux morts vendredi soir à San Pedro, dans une famille de ressortissants burkinabés résidant au quartier Séwéké 2.
Ces deux victimes décédées sont Inza Alizeta, 20 ans, et Ouédraogo Alex, âgé de 14 mois.
Ces deux personnes ont rendu l’âme dans une clinique où elles ont été transportées d’urgence avant leur évacuation au CHR, ainsi que Ouédraogo Assata, et Ouédraogo Némata, toutes deux âgées de 18 ans, qui ont pu être sauvées en service de réanimation du Centre hospitalier régional.
Tous membres d’une même famille, ils ont été intoxiqués en consommant du "poisson-perroquet" ramené dans l’après-midi du port de pêche, par Madi Zinaba, 30 ans, pour la rupture du jeûne du Ramadan.
Pressées de faire cuire ce poisson pour le manger avant le repas principal de rupture du jeûne, les cuisinières n’ont pas eu la présence d’esprit de débarrasser ce type d’animal vertébré inférieur jugé, selon des témoignages recueillis, toxique et déconseillé souvent à la consommation par certains pêcheurs, de ces viscères, notamment l’intestin.
C’est donc en mangeant le poisson cuit avec son intestin que ces quatre personnes sont prises, tour à tour, de violentes douleurs abdominales engendrant des vomissements ininterrompus. Transportés au fur et à mesure que le mal survenait dans une clinique pour les premiers soins, Inza Alizeta et Ouédraogo Alex ont rendu l’âme sur place.
Informée de cette tragédie, la police a ouvert une enquête afin d’en déterminer les causes réelles et établir les responsabilités.
Ces deux victimes décédées sont Inza Alizeta, 20 ans, et Ouédraogo Alex, âgé de 14 mois.
Ces deux personnes ont rendu l’âme dans une clinique où elles ont été transportées d’urgence avant leur évacuation au CHR, ainsi que Ouédraogo Assata, et Ouédraogo Némata, toutes deux âgées de 18 ans, qui ont pu être sauvées en service de réanimation du Centre hospitalier régional.
Tous membres d’une même famille, ils ont été intoxiqués en consommant du "poisson-perroquet" ramené dans l’après-midi du port de pêche, par Madi Zinaba, 30 ans, pour la rupture du jeûne du Ramadan.
Pressées de faire cuire ce poisson pour le manger avant le repas principal de rupture du jeûne, les cuisinières n’ont pas eu la présence d’esprit de débarrasser ce type d’animal vertébré inférieur jugé, selon des témoignages recueillis, toxique et déconseillé souvent à la consommation par certains pêcheurs, de ces viscères, notamment l’intestin.
C’est donc en mangeant le poisson cuit avec son intestin que ces quatre personnes sont prises, tour à tour, de violentes douleurs abdominales engendrant des vomissements ininterrompus. Transportés au fur et à mesure que le mal survenait dans une clinique pour les premiers soins, Inza Alizeta et Ouédraogo Alex ont rendu l’âme sur place.
Informée de cette tragédie, la police a ouvert une enquête afin d’en déterminer les causes réelles et établir les responsabilités.