Abidjan - Des universitaires ivoiriens ainsi que professionnels des centres documentaires d'organismes sous tutelle du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique réfléchissent depuis ce lundi, dans le cadre d'un atelier, à Abidjan, aux moyens d'accroître la diffusion des produits de recherche ainsi que la pérennisation et la sauvegarde des documents administratifs.
Selon les initiateurs de cet atelier, qui s'achève mardi, il s'agit de faire un bilan du fonctionnement du dépôt numérique des thèses, mémoires ou autres publications, et mettre en œuvre un système organisationnel d’archivage numérique, propre à en assurer une meilleure diffusion ou usage auprès des usagers.
Durant ces travaux, les participants présenteront les données renseignées au niveau des différentes structures, les avantages et les opportunités de l’archivage numérique, la mise à la disposition de ceux-ci des informations essentielles portant sur l’archivage numérique, de même la mise en œuvre d'une politique documentaire efficiente qui favorise, par la diffusion, l'accessibilité aux résultats de la recherche.
Au terme des travaux, les résultats devraient permettre de connaître l’état de fonctionnement réel du dépôt numérique connu, l’importance de l’archivage numérique, les éléments matériels, logiciels et organisationnels liés, en vue d'une conservation réglementaire des archives numérisés et un plan stratégique de diffusion des résultats de la recherche.
Lors de la cérémonie d’ouverture des travaux, le directeur de cabinet adjoint, Pr. Abou Karamoko, représentant le ministre de tutelle, a salué l’opportunité de la tenue de cet atelier. « Le MESRS ne peut que se réjouir de l’adoption de cet outil de conservation, de diffusion et de vulgarisation des produits de la recherche, afin que leur mise en valeur puisse entrer dans nos mœurs », a-t-il déclaré.
Cet atelier de la bonne maîtrise de la gestion de la mémoire institutionnelle est le troisième après ceux de juillet et décembre 2012. Il se déroulera, sous forme de conférences prononcées par des experts, en travaux de commission et des travaux pratiques. Il est une initiative du MESRS en partenariat avec l’association des universités africaines (AUA).
Selon les initiateurs de cet atelier, qui s'achève mardi, il s'agit de faire un bilan du fonctionnement du dépôt numérique des thèses, mémoires ou autres publications, et mettre en œuvre un système organisationnel d’archivage numérique, propre à en assurer une meilleure diffusion ou usage auprès des usagers.
Durant ces travaux, les participants présenteront les données renseignées au niveau des différentes structures, les avantages et les opportunités de l’archivage numérique, la mise à la disposition de ceux-ci des informations essentielles portant sur l’archivage numérique, de même la mise en œuvre d'une politique documentaire efficiente qui favorise, par la diffusion, l'accessibilité aux résultats de la recherche.
Au terme des travaux, les résultats devraient permettre de connaître l’état de fonctionnement réel du dépôt numérique connu, l’importance de l’archivage numérique, les éléments matériels, logiciels et organisationnels liés, en vue d'une conservation réglementaire des archives numérisés et un plan stratégique de diffusion des résultats de la recherche.
Lors de la cérémonie d’ouverture des travaux, le directeur de cabinet adjoint, Pr. Abou Karamoko, représentant le ministre de tutelle, a salué l’opportunité de la tenue de cet atelier. « Le MESRS ne peut que se réjouir de l’adoption de cet outil de conservation, de diffusion et de vulgarisation des produits de la recherche, afin que leur mise en valeur puisse entrer dans nos mœurs », a-t-il déclaré.
Cet atelier de la bonne maîtrise de la gestion de la mémoire institutionnelle est le troisième après ceux de juillet et décembre 2012. Il se déroulera, sous forme de conférences prononcées par des experts, en travaux de commission et des travaux pratiques. Il est une initiative du MESRS en partenariat avec l’association des universités africaines (AUA).
