Africamillions, c’est le dernier né d’une longue série de produits que met la Lonaci (Loterie nationale de Côte d’Ivoire) à la disposition de ses parieurs. «On n’entend pas s’arrêter en si bon chemin (…) pour satisfaire les besoins de nos parieurs», a fait savoir Issiaka Fofana, directeur général de la Lonaci lors du lancement du jeu. Face à la presse au siège de la structure, le vendredi 26 juillet 2013, le directeur général mentionne que ce nouveau produit qui a un ‘’caractère panafricain’’, s’inscrit dans une dynamique d’intégration avec pour objectif de faire participer un grand nombre de joueurs.
Lancé en collaboration avec cinq (5) autres loteries africaines, ce jeu «transfrontalier» tel que présenté par Abdoukarim Ouattara, le directeur commercial et marketing, fait gagner chaque semaine deux cent (200) millions de Fcfa pour une mise de 250 Fcfa. Diffusé sur RTI, le tirage du jackpot a lieu tous les samedis «pour permettre à tous d’y avoir accès».
Pour jouer, le parieur remplit un bulletin (qui dispose de cinq grilles) qu’il achète dans un point de vente. Sur 45 numéros (pour chaque grilles) le joueur en choisit cinq (5) et coche deux (2) numéros ‘’étoiles’’ sur huit (8). En jouant ainsi une grille, le joueur accède à onze (11) rangs de gains possibles pour lui permettre de «gagner sans avoir trouvé tous les numéros de la combinaison gagnante». Proposer plusieurs rangs de gain est, admet Abdoukarim Ouattara, une particularité du jeu qui fait le pari ‘’d’allier des cultures différentes autour d’un même projet’’.
«Le succès du jeu repose sur le fait qu’il y a, dans tous les pays participants, des gagnants du plus petit gain au jackpot s’il est remporté», précise le directeur commercial et marketing. Selon le principe du jeu, si dans un délai de douze (12) semaines le jackpot ‘’n’est pas tombé’’, il est distribué parmi les gagnants ‘’du premier rang inférieur où il y aura des gagnants’’.
Le lancement de Africamillions dont l’ouverture des prises de jeux s’est faite le 24 juin, a concerné le Congo Brazzaville, la Côte d’Ivoire, la Rdc, le Sénégal. La Gambie et le Kenya rejoindront à la mi-août les pays partenaires.
Koné Saydoo
Lancé en collaboration avec cinq (5) autres loteries africaines, ce jeu «transfrontalier» tel que présenté par Abdoukarim Ouattara, le directeur commercial et marketing, fait gagner chaque semaine deux cent (200) millions de Fcfa pour une mise de 250 Fcfa. Diffusé sur RTI, le tirage du jackpot a lieu tous les samedis «pour permettre à tous d’y avoir accès».
Pour jouer, le parieur remplit un bulletin (qui dispose de cinq grilles) qu’il achète dans un point de vente. Sur 45 numéros (pour chaque grilles) le joueur en choisit cinq (5) et coche deux (2) numéros ‘’étoiles’’ sur huit (8). En jouant ainsi une grille, le joueur accède à onze (11) rangs de gains possibles pour lui permettre de «gagner sans avoir trouvé tous les numéros de la combinaison gagnante». Proposer plusieurs rangs de gain est, admet Abdoukarim Ouattara, une particularité du jeu qui fait le pari ‘’d’allier des cultures différentes autour d’un même projet’’.
«Le succès du jeu repose sur le fait qu’il y a, dans tous les pays participants, des gagnants du plus petit gain au jackpot s’il est remporté», précise le directeur commercial et marketing. Selon le principe du jeu, si dans un délai de douze (12) semaines le jackpot ‘’n’est pas tombé’’, il est distribué parmi les gagnants ‘’du premier rang inférieur où il y aura des gagnants’’.
Le lancement de Africamillions dont l’ouverture des prises de jeux s’est faite le 24 juin, a concerné le Congo Brazzaville, la Côte d’Ivoire, la Rdc, le Sénégal. La Gambie et le Kenya rejoindront à la mi-août les pays partenaires.
Koné Saydoo
