Odienné –Le président du Conseil régional du Kabadougou, Koné Souleymane, a, dans un entretien avec la presse, lancé un appel à la cohésion et à la solidarité au sein de son équipe, au soutien de la population et à l’appui du corps préfectoral, pour une synergie d’actions seule capable de sortir la région de l’ornière de la pauvreté.
«Ma modeste personne ne compte pas. Le plus important, c’est la cohésion du groupe», a déclaré M. Koné, invitant le Conseil à se mettre au travail, sans délai, "tant, a-t-il reconnu, les défis sont nombreux".
Pour le président du Conseil régional du Kabadougou, pour relever le défi du développement de la région ou du moins pour avoir un résultat acceptable à la fin du mandat qui expire dans moins de trois ans, il faut réussir celui de la mobilisation des fils et filles du Kabadougou.
«Nous avons la chance d’avoir une richesse, les hommes. Le plus grand défi pour nous, c’est de pouvoir mobiliser cette grande richesse que nous avons aussi bien au niveau du Kabadougou que dans la diaspora», a-t-il soutenu, regrettant la contradiction entre l’existence de nombreuses compétences originaires du Denguélé partout dans le monde et l’état de paupérisation des populations.
Pour le président du Conseil régional du Kabadougou, tous les besoins identifiés sont prioritaires car, a-t-il souligné, le minimum dont ont besoin les populations pour s’épanouir manque partout. «Nos priorités sont celles de la population que nous avons eu l’occasion de recueillir pendant la campagne dans les cinq départements de la région; il y des problèmes d’eau, d’emplois pour les jeunes, pas de route, pas suffisamment d’infrastructures scolaires et sanitaires", a-t-il dressé, en guise d'état des lieux.
Il a annoncé que, face à la situation, le Conseil fera les programmations en fonction des moyens dont il disposera pour mener sa mission.
(Aip)
gem/kkp/nf
«Ma modeste personne ne compte pas. Le plus important, c’est la cohésion du groupe», a déclaré M. Koné, invitant le Conseil à se mettre au travail, sans délai, "tant, a-t-il reconnu, les défis sont nombreux".
Pour le président du Conseil régional du Kabadougou, pour relever le défi du développement de la région ou du moins pour avoir un résultat acceptable à la fin du mandat qui expire dans moins de trois ans, il faut réussir celui de la mobilisation des fils et filles du Kabadougou.
«Nous avons la chance d’avoir une richesse, les hommes. Le plus grand défi pour nous, c’est de pouvoir mobiliser cette grande richesse que nous avons aussi bien au niveau du Kabadougou que dans la diaspora», a-t-il soutenu, regrettant la contradiction entre l’existence de nombreuses compétences originaires du Denguélé partout dans le monde et l’état de paupérisation des populations.
Pour le président du Conseil régional du Kabadougou, tous les besoins identifiés sont prioritaires car, a-t-il souligné, le minimum dont ont besoin les populations pour s’épanouir manque partout. «Nos priorités sont celles de la population que nous avons eu l’occasion de recueillir pendant la campagne dans les cinq départements de la région; il y des problèmes d’eau, d’emplois pour les jeunes, pas de route, pas suffisamment d’infrastructures scolaires et sanitaires", a-t-il dressé, en guise d'état des lieux.
Il a annoncé que, face à la situation, le Conseil fera les programmations en fonction des moyens dont il disposera pour mener sa mission.
(Aip)
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