Dans la nuit du mardi 30 au mercredi 31 juillet 2013, une bande de quatre (4) braqueurs a semé la désolation au domicile d’un instituteur à Abobo-Belleville. Les gangsters ont fait deux blessés et emporté plusieurs biens. Il ressort des informations reçues que c’est tard dans la nuit, au moment où, toute la maisonnée est endormie que les voleurs escaladent la clôture. Une fois à l’intérieur de la cour, à l’aide d’un pied de biche ils fracassent la porte du salon. Albert .K, est tiré des bras de Morphée par le vacarme. Pour en savoir plus sur l’origine du bruit, il ouvre la porte de sa chambre pour se diriger vers le salon. La pièce à peine franchie, un des visiteurs indésirables, pointe son fusil Kalachnikov sur son visage. L’enseignant réalise qu’il a affaire à des gangsters dont le métier est de spolier les biens des autres. Au même moment, le frère cadet d’Albert K. qui partage la seconde chambre avec les enfants de son aîné est tiré de son sommeil suite à un coup qu’il reçoit au visage. Devenus maitres des lieux, les malfrats passent l’appartement au peigne fin. Poste téléviseur, ordinateur, téléphones portables sont emportés.
L’un des bandits aperçoit aussi un sac qui appartient à la femme du maître des lieux.
Le malfaiteur se saisit de la besace contenant des dessous de luxes, dont elle fait le commerce. La pauvre tente de la lui arracher car le contenu est la commande d’une de ses clientes. Un geste que n’apprécie pas le bandit, il expédie un violent coup de point au visage de la dame. Le coup reçu a pour effet de lui arracher un cri et lui faire lâcher prise. Craignant que leur présence ne soit signalée, les sicaires ordonnent à leurs victimes d’entrer dans une chambre. Mais elles opposent un refus. Pour prouver qu’ils ne sont pas des enfants de cœur, l’un des voyous se saisit d’une machette avec laquelle il taillade le dos de l’instituteur. Toute résistance est alors vaincue. La famille obéit et se laisse enfermer par les canailles. Après le départ des bandits, alertés par les appels au secours d’Albert K. et sa famille, les voisins viendront les libérer. La famille a décidé de porter plainte au commissariat du 34e arrondissement situé à Abobo-Baoulé.
A.H
L’un des bandits aperçoit aussi un sac qui appartient à la femme du maître des lieux.
Le malfaiteur se saisit de la besace contenant des dessous de luxes, dont elle fait le commerce. La pauvre tente de la lui arracher car le contenu est la commande d’une de ses clientes. Un geste que n’apprécie pas le bandit, il expédie un violent coup de point au visage de la dame. Le coup reçu a pour effet de lui arracher un cri et lui faire lâcher prise. Craignant que leur présence ne soit signalée, les sicaires ordonnent à leurs victimes d’entrer dans une chambre. Mais elles opposent un refus. Pour prouver qu’ils ne sont pas des enfants de cœur, l’un des voyous se saisit d’une machette avec laquelle il taillade le dos de l’instituteur. Toute résistance est alors vaincue. La famille obéit et se laisse enfermer par les canailles. Après le départ des bandits, alertés par les appels au secours d’Albert K. et sa famille, les voisins viendront les libérer. La famille a décidé de porter plainte au commissariat du 34e arrondissement situé à Abobo-Baoulé.
A.H