Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) a organisé samedi à son siège provisoire, à Cocody les II-plateaux, une fête en faveur de ses cadres qui ont recouvré la liberté provisoire le 5 août.
Dans la liesse populaire et aux pas de danse, Affi N’Guessan, président statutaire du parti, et ses ex-codétenus, ont été célébrés à l’occasion d’une cérémonie qui, selon le président du comité d’organisation, Sébastien Dano Djédjé, est "un moment d’union, un moment de solidarité, un moment de partage". Pour le président de l’ex-parti au pouvoir, cette fête est une étape d’un "processus de restauration du parti, de remobilisation du parti". C’est pourquoi, le porte-parole des ex-détenus, Abou Dramane Sangaré, a appelé à une libération "immédiate et sans condition" des autres détenus, notamment Laurent Gbagbo qui, a-t-il affirmé, "n’est pas une partie du débat, il est à lui seul tout le débat en Côte d’Ivoire". C’est le 5 août que le tribunal d’Abidjan a accordé aux 14 personnalités en détention des suites de la crise postélectorale qui a fait officiellement quelque 3.000 morts en Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
Dans la liesse populaire et aux pas de danse, Affi N’Guessan, président statutaire du parti, et ses ex-codétenus, ont été célébrés à l’occasion d’une cérémonie qui, selon le président du comité d’organisation, Sébastien Dano Djédjé, est "un moment d’union, un moment de solidarité, un moment de partage". Pour le président de l’ex-parti au pouvoir, cette fête est une étape d’un "processus de restauration du parti, de remobilisation du parti". C’est pourquoi, le porte-parole des ex-détenus, Abou Dramane Sangaré, a appelé à une libération "immédiate et sans condition" des autres détenus, notamment Laurent Gbagbo qui, a-t-il affirmé, "n’est pas une partie du débat, il est à lui seul tout le débat en Côte d’Ivoire". C’est le 5 août que le tribunal d’Abidjan a accordé aux 14 personnalités en détention des suites de la crise postélectorale qui a fait officiellement quelque 3.000 morts en Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.