Abidjan - Plus de 2500 cas de grossesses ont été enregistrés durant l’année scolaire écoulée (2012-2013) en Côte d’Ivoire, a révélé lundi le directeur de la pédagogie et de la formation continue du ministère ivoirien de l’Education nationale et de l’Enseignement technique (MENET), Silué Nanzouan Patrice.
"Cette année seulement, il y a eu plus de 2500 cas de grossesse dans les écoles (secondaires). Nous allons travailler avec les parents pour juguler ce mal", a indiqué M. Silué, lors du lancement d’une "campagne de mobilisation de la communauté éducative autour de la rentrée scolaire" prochaine (2013-2014), initié par le Service national d’animation, de promotion et de suivi des comités de gestion des établissements (Snaps-Coges).
En présence du directeur de cabinet du MENET et de plusieurs représentants locaux du Snaps-Coges, le directeur de la pédagogie et de la formation continue a appelé les acteurs de l’éducation, ainsi que les parents d’élèves à la mobilisation pour "freiner ce fléau".
Les grossesses en milieu scolaire sont à la base de nombreux échecs et abandons scolaires. Selon certains responsables d’établissement, cette situation s’explique en grande partie par "la pauvreté".
(AIP)
tm
"Cette année seulement, il y a eu plus de 2500 cas de grossesse dans les écoles (secondaires). Nous allons travailler avec les parents pour juguler ce mal", a indiqué M. Silué, lors du lancement d’une "campagne de mobilisation de la communauté éducative autour de la rentrée scolaire" prochaine (2013-2014), initié par le Service national d’animation, de promotion et de suivi des comités de gestion des établissements (Snaps-Coges).
En présence du directeur de cabinet du MENET et de plusieurs représentants locaux du Snaps-Coges, le directeur de la pédagogie et de la formation continue a appelé les acteurs de l’éducation, ainsi que les parents d’élèves à la mobilisation pour "freiner ce fléau".
Les grossesses en milieu scolaire sont à la base de nombreux échecs et abandons scolaires. Selon certains responsables d’établissement, cette situation s’explique en grande partie par "la pauvreté".
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