I-CONTEXTE et JUSTIFICATION
Depuis quelques temps, il est fait écho dans la presse du mécontentement des
prestataires, fournisseurs ou encore partenaires de l’ADDR du fait de non paiement de
factures de ceux-ci.
Afin d’éclairer l’opinion publique sur cette situation, il est apparu nécessaire de partager
avec vous un certain nombre d’information et notamment les actions actuellement en
cours.
NATURE DES PASSIFS
De prime à bord il est important de clarifier qu’aucun des fournisseurs mettant en cause
l’ADDR n’a effectué des prestations pour le compte de l’ADDR. Il n’est donc pas juste de
parler de fournisseur de l’ADDR, mais plutôt des fournisseurs des structures auxquelles
l’ADDR a succédé. C’est une nuance de taille.
Il s’agit donc de ce qui pourrait être des passifs de ces structures à la dissolution.
Comme pour le personnel, et sous la houlette du CNS, un cabinet d’audit a été mandaté
pour procéder à l’évaluation des droits et arriérés de salaires. Une fois le rapport transmis,
l’Etat de C.I. a dégagé 700 millions de francs pour que ces mères et pères de famille
retrouvent un temps soit peu le sourire.
Mieux, l’ADDR a opéré ses recrutements en priorité au sein de ce potentiel de
compétence.
Ace jour, la situation des fonctionnaires qui travaillaient dans les structures dissoutes est
en passe de connaître un dénouement car il fallait collecter les différents arrêtés
nécessaires à la justification et l’évaluation des sommes à payer.
Ce travail n’est pas fait par l’ADDR. Lorsque les conclusions des différents travaux sont
transmises à l’ADDR ainsi que les fonds nécessaires pour l’apurement, l’ADDR se charge
alors opérationnellement de matérialiser le paiement.
Pour les fournisseurs, les conclusions du travail de vérification par le cabinet d’audit n’ont
pas encore été transmis à l’ADDR ni les ressources pour effectuer ces paiements.
Cependant des actions auxquelles l’ADDR a été associées sont encours et même
intensifiées pour que très rapidement la question du passif des prestataires des structures
dissoutes soit rapidement réglée.
Nous avons mardi dernier reçu un collectif de ces prestataires, a qui nous avons partagé
les actions en cours et à mener afin de les désintéresser.
Cette action participe du climat de sérénité requis par le Directeur de l’ADDR afin
permettre à l’ADDR de dérouler son programme qui a entamé sa phase de croisière.
Ce que nous savons, l’Etat accorde une très grande priorité à cette question et il a été
décidé de procéder au règlement d’ici quelque jour au règlement progressif des factures
certifiées par l’audit.
L’ADDR n’ayant pas les éléments pour faire ce travail, ce fera fort de se rendre disponible
si nous sommes encore une fois sollicité pour effectuer le règlement.
Pour finir j’aimerais rassurer les Ex-Combattants que Monsieur Fidèle SARASSORO, et
avec lui toutes sont équipes se font fort de matérialiser l’engagement du Chef de l’Etat
quant à la réinsertion socio-économique de tous les Ex-Combattants. Pour cela, et grâce à
l’engagement personnel du Président de la République et du Gouvernement, plusieurs
partenariats sont entrain de se concrétiser en plus de l’effort déjà réalisé par l’Etat.
L’appui de l’ONUCI s’est accru et nous venons de lancer les projets de réinsertion
communautaire.
Le PNUD nous appui considérablement et ce sont déjà près de 500 Ex-Combattant qui
sont réintégrés grâce au financement sur les fonds belges en plus de la réhabilitation
communautaire qui accompagne le programme.
Le FIDA, nous a déjà fait une avance de plus de 600 millions de Francs pour l’intégration
dans le secteur de l’exploitation agricole. La Banque mondiale à travers le PAPC, l’Union
Européenne et bien d’autres partenaires soutiennent le Désarmement et la Démobilisation
et la Réintégration des Ex-Combattants.
Comme vous pouvez le constater la confiance est plutôt grandissante de la part de nos
partenaires et le processus est en marche.
Depuis quelques temps, il est fait écho dans la presse du mécontentement des
prestataires, fournisseurs ou encore partenaires de l’ADDR du fait de non paiement de
factures de ceux-ci.
Afin d’éclairer l’opinion publique sur cette situation, il est apparu nécessaire de partager
avec vous un certain nombre d’information et notamment les actions actuellement en
cours.
NATURE DES PASSIFS
De prime à bord il est important de clarifier qu’aucun des fournisseurs mettant en cause
l’ADDR n’a effectué des prestations pour le compte de l’ADDR. Il n’est donc pas juste de
parler de fournisseur de l’ADDR, mais plutôt des fournisseurs des structures auxquelles
l’ADDR a succédé. C’est une nuance de taille.
Il s’agit donc de ce qui pourrait être des passifs de ces structures à la dissolution.
Comme pour le personnel, et sous la houlette du CNS, un cabinet d’audit a été mandaté
pour procéder à l’évaluation des droits et arriérés de salaires. Une fois le rapport transmis,
l’Etat de C.I. a dégagé 700 millions de francs pour que ces mères et pères de famille
retrouvent un temps soit peu le sourire.
Mieux, l’ADDR a opéré ses recrutements en priorité au sein de ce potentiel de
compétence.
Ace jour, la situation des fonctionnaires qui travaillaient dans les structures dissoutes est
en passe de connaître un dénouement car il fallait collecter les différents arrêtés
nécessaires à la justification et l’évaluation des sommes à payer.
Ce travail n’est pas fait par l’ADDR. Lorsque les conclusions des différents travaux sont
transmises à l’ADDR ainsi que les fonds nécessaires pour l’apurement, l’ADDR se charge
alors opérationnellement de matérialiser le paiement.
Pour les fournisseurs, les conclusions du travail de vérification par le cabinet d’audit n’ont
pas encore été transmis à l’ADDR ni les ressources pour effectuer ces paiements.
Cependant des actions auxquelles l’ADDR a été associées sont encours et même
intensifiées pour que très rapidement la question du passif des prestataires des structures
dissoutes soit rapidement réglée.
Nous avons mardi dernier reçu un collectif de ces prestataires, a qui nous avons partagé
les actions en cours et à mener afin de les désintéresser.
Cette action participe du climat de sérénité requis par le Directeur de l’ADDR afin
permettre à l’ADDR de dérouler son programme qui a entamé sa phase de croisière.
Ce que nous savons, l’Etat accorde une très grande priorité à cette question et il a été
décidé de procéder au règlement d’ici quelque jour au règlement progressif des factures
certifiées par l’audit.
L’ADDR n’ayant pas les éléments pour faire ce travail, ce fera fort de se rendre disponible
si nous sommes encore une fois sollicité pour effectuer le règlement.
Pour finir j’aimerais rassurer les Ex-Combattants que Monsieur Fidèle SARASSORO, et
avec lui toutes sont équipes se font fort de matérialiser l’engagement du Chef de l’Etat
quant à la réinsertion socio-économique de tous les Ex-Combattants. Pour cela, et grâce à
l’engagement personnel du Président de la République et du Gouvernement, plusieurs
partenariats sont entrain de se concrétiser en plus de l’effort déjà réalisé par l’Etat.
L’appui de l’ONUCI s’est accru et nous venons de lancer les projets de réinsertion
communautaire.
Le PNUD nous appui considérablement et ce sont déjà près de 500 Ex-Combattant qui
sont réintégrés grâce au financement sur les fonds belges en plus de la réhabilitation
communautaire qui accompagne le programme.
Le FIDA, nous a déjà fait une avance de plus de 600 millions de Francs pour l’intégration
dans le secteur de l’exploitation agricole. La Banque mondiale à travers le PAPC, l’Union
Européenne et bien d’autres partenaires soutiennent le Désarmement et la Démobilisation
et la Réintégration des Ex-Combattants.
Comme vous pouvez le constater la confiance est plutôt grandissante de la part de nos
partenaires et le processus est en marche.