Le président du comité d’organisation du salon international des médias, de la communication et des Tic, Beta Michel, à quelques semaines de l’ouverture de l’évènement prévu le 09 octobre prochain, se veut rassurant quant aux retombées certaines que vont engranger tous les participants. Il invite donc les retardataires à presser le pas afin de ne pas regretter d’avoir raté ce rendez-vous d’affaire.
Quel est l’état d’avancement des préparatifs à quelques semaines de l’ouverture du salon des médias ?
Nous saluons l’intérêt que vous portez aux médias ivoiriens et surtout à l’organisation de ce salon. Nous sommes effectivement à quelques jours seulement de l’ouverture du salon international des médias, de la communication et des Tic, et comme vous pouvez le constater, ce sera le salon le plus médiatisé de Côte d’Ivoire. Il regroupe plus de 60 médias y compris notre télévision nationale, la RTI qui prend une part active comme tous les autres à cette 4è édition. A quelques semaines de l’évènement, nous pouvons rassurer que les choses avancent comme souhaité. Beaucoup sont les entreprises qui ont répondu à notre appel. Nous sommes maintenant à la phase pratique qui consiste à aménager l’espace devant abriter la rencontre. Comment disposer les stands des participants sur le lieu. Les choses avancent et nous invitons les retardataires qui souhaiteraient prendre part à ce salon qui est le leur et qui leur donne l’occasion de tisser des partenariats afin de se faire connaitre, de venir s’inscrire. Ils ont seulement quelques jours pour le faire. Il faut le faire très vite avant qu’il ne soit trop tard.
Qu’est-ce qui va se passer concrètement à ce salon ?
C’est un salon dédié aux entreprises et médias. Le thème est « rapport Entreprises-Médias ; outils et stratégies pour booster la croissance. » Ce thème est évocateur. C’est donc un salon qui regroupe entreprises et médias et pendant trois jours, les médias ouvriront leurs lucarnes, leurs espaces aux entreprises afin de leur donner l’occasion de faire leur promotion. A côté de cela, il y aura d’autres volets tels que l’animation de conférence, des débats, des rencontres d’échange entre chefs d’entreprises et patrons des médias. Le volet rencontre des professionnels de médias et les entreprises, sera le cadre d’échanges qui doit permettre aux responsables en charge de communication de voir leur collaboration avec les médias pour mieux assurer le travail de communicateur avec les médias. Les spécialistes seront là pour les y aider.
Quel est le public cible attendu à ce salon ?
Dans nos prévisions, puisque nous avons intitulé ce salon ‘‘salon international’’, nous attendons près de 100 mille visiteurs sur les trois jours. Beaucoup d’entreprises de la sous-région sont attendues à ce salon. Une tournée au sein des populations de la communauté Cedeao a été faite afin de les sensibiliser à prendre une part active à ce salon qui est aussi le leur. Cette communauté importante en Côte d’Ivoire est attendue à ce salon. Les agences de voyage ont été sollicitées afin qu’elles facilitent les déplacements des visiteurs qui arrivent pour la première fois en Côte d’Ivoire à cette période là, à se rendre sur le site du salon et pourquoi pas aussi aller dans toutes les communes de la capitale économique et découvrir les opportunités d’affaires qui peuvent s’offrir à eux.
Quelles sont les retombées auxquelles peuvent s’attendre les participants ?
Pour les différents participants, les retombées sont certaines. Pour les entreprises, nous rappelons ici encore que c’est le salon le plus médiatisé. Donc, je peux leur garantir une promotion évidente. Leur visibilité est certaine. 60 entreprises des médias se réunissent pour leur présenter des possibilités de collaboration, c’est dire que les entreprises iront satisfaites. Aussi, les visiteurs attendus (extérieur comme intérieur) sont un potentiel de clients. Les entreprises de presse également pourront nouer de nouveaux contacts d’affaires avec les autres entreprises. Aussi, si ce salon donne une nouvelle visibilité à la Côte d’Ivoire en terme économique, c’est sûr que les entreprises de presse en seront bénéficiaires. Je profite de cette occasion que vous m’offrez pour saluer la direction générale de la RTI qui nous permettra de vivre cet évènement en direct pendant ces trois jours. Je salue aussi tous les médias qui se sont engagés et qui ont accepté de s’associer à cet évènement pour que ce salon soit une réussite. Les visiteurs également qui très souvent ne savent pas le fonctionnement de ces entreprises peuvent apprendre d’elles et éventuellement envisager des collaborations dans l’avenir.La sous-région, forte d’une population de plus de 300 millions d’habitants, est un véritable atout pour tous les participants. Parce que nous pensons que les entreprises ivoiriennes ne devraient pas seulement viser le marché ivoirien mais celui de la sous-région pour accroître leur rendement, leur chiffre d’affaires. Et ce salon avec les médias est une occasion de se faire connaître de l’extérieur en étant même sur place et cela grâce aux médias.
Combien de stands ont été prévus pour ce salon et combien ont-ils déjà été réservés ?
Nous avons prévu plusieurs centaines de stands. Déjà plus de la moitié a déjà été réservé. Je peux vous dire qu’aujourd’hui, nous invitons seulement les retardataires à venir se joindre au groupe pour ne pas rater cette opportunité d’affaire qui s’offre à eux. Ce serait dommage qu’ils ne soient pas à ce rendez-vous parce que j’estime que le faisant, je pourrais dire qu’ils manquent d’ambition étant donné qu’il n’y a pas meilleure occasion que celle- là pour faire sa promotion.
Quel est le coût des stands ?
Je pense qu’il ne faut pas voir cela en terme de coût, il faut qu’ils viennent seulement, on trouvera toujours un cadre pour s’entendre. Rencontrons-nous et nous saurons trouver la formule idéale pour satisfaire chacun mais surtout pour vous accompagner dans votre promotion. Je signale ici que l’invité spécial de ce salon, c’est le Premier ministre du Burkina Faso, S.E.M. Luc Adolphe Tiao. C’est dire encore que nous misons sur tout pour donner un cachet spécial à cette rencontre afin que les entreprises participantes partent de ce salon satisfaites. Il faut permettre aux différentes entreprises de toucher les 300 millions d’habitants que compte la sous-région Ouest africaine.
Gisèle Tienfô
Quel est l’état d’avancement des préparatifs à quelques semaines de l’ouverture du salon des médias ?
Nous saluons l’intérêt que vous portez aux médias ivoiriens et surtout à l’organisation de ce salon. Nous sommes effectivement à quelques jours seulement de l’ouverture du salon international des médias, de la communication et des Tic, et comme vous pouvez le constater, ce sera le salon le plus médiatisé de Côte d’Ivoire. Il regroupe plus de 60 médias y compris notre télévision nationale, la RTI qui prend une part active comme tous les autres à cette 4è édition. A quelques semaines de l’évènement, nous pouvons rassurer que les choses avancent comme souhaité. Beaucoup sont les entreprises qui ont répondu à notre appel. Nous sommes maintenant à la phase pratique qui consiste à aménager l’espace devant abriter la rencontre. Comment disposer les stands des participants sur le lieu. Les choses avancent et nous invitons les retardataires qui souhaiteraient prendre part à ce salon qui est le leur et qui leur donne l’occasion de tisser des partenariats afin de se faire connaitre, de venir s’inscrire. Ils ont seulement quelques jours pour le faire. Il faut le faire très vite avant qu’il ne soit trop tard.
Qu’est-ce qui va se passer concrètement à ce salon ?
C’est un salon dédié aux entreprises et médias. Le thème est « rapport Entreprises-Médias ; outils et stratégies pour booster la croissance. » Ce thème est évocateur. C’est donc un salon qui regroupe entreprises et médias et pendant trois jours, les médias ouvriront leurs lucarnes, leurs espaces aux entreprises afin de leur donner l’occasion de faire leur promotion. A côté de cela, il y aura d’autres volets tels que l’animation de conférence, des débats, des rencontres d’échange entre chefs d’entreprises et patrons des médias. Le volet rencontre des professionnels de médias et les entreprises, sera le cadre d’échanges qui doit permettre aux responsables en charge de communication de voir leur collaboration avec les médias pour mieux assurer le travail de communicateur avec les médias. Les spécialistes seront là pour les y aider.
Quel est le public cible attendu à ce salon ?
Dans nos prévisions, puisque nous avons intitulé ce salon ‘‘salon international’’, nous attendons près de 100 mille visiteurs sur les trois jours. Beaucoup d’entreprises de la sous-région sont attendues à ce salon. Une tournée au sein des populations de la communauté Cedeao a été faite afin de les sensibiliser à prendre une part active à ce salon qui est aussi le leur. Cette communauté importante en Côte d’Ivoire est attendue à ce salon. Les agences de voyage ont été sollicitées afin qu’elles facilitent les déplacements des visiteurs qui arrivent pour la première fois en Côte d’Ivoire à cette période là, à se rendre sur le site du salon et pourquoi pas aussi aller dans toutes les communes de la capitale économique et découvrir les opportunités d’affaires qui peuvent s’offrir à eux.
Quelles sont les retombées auxquelles peuvent s’attendre les participants ?
Pour les différents participants, les retombées sont certaines. Pour les entreprises, nous rappelons ici encore que c’est le salon le plus médiatisé. Donc, je peux leur garantir une promotion évidente. Leur visibilité est certaine. 60 entreprises des médias se réunissent pour leur présenter des possibilités de collaboration, c’est dire que les entreprises iront satisfaites. Aussi, les visiteurs attendus (extérieur comme intérieur) sont un potentiel de clients. Les entreprises de presse également pourront nouer de nouveaux contacts d’affaires avec les autres entreprises. Aussi, si ce salon donne une nouvelle visibilité à la Côte d’Ivoire en terme économique, c’est sûr que les entreprises de presse en seront bénéficiaires. Je profite de cette occasion que vous m’offrez pour saluer la direction générale de la RTI qui nous permettra de vivre cet évènement en direct pendant ces trois jours. Je salue aussi tous les médias qui se sont engagés et qui ont accepté de s’associer à cet évènement pour que ce salon soit une réussite. Les visiteurs également qui très souvent ne savent pas le fonctionnement de ces entreprises peuvent apprendre d’elles et éventuellement envisager des collaborations dans l’avenir.La sous-région, forte d’une population de plus de 300 millions d’habitants, est un véritable atout pour tous les participants. Parce que nous pensons que les entreprises ivoiriennes ne devraient pas seulement viser le marché ivoirien mais celui de la sous-région pour accroître leur rendement, leur chiffre d’affaires. Et ce salon avec les médias est une occasion de se faire connaître de l’extérieur en étant même sur place et cela grâce aux médias.
Combien de stands ont été prévus pour ce salon et combien ont-ils déjà été réservés ?
Nous avons prévu plusieurs centaines de stands. Déjà plus de la moitié a déjà été réservé. Je peux vous dire qu’aujourd’hui, nous invitons seulement les retardataires à venir se joindre au groupe pour ne pas rater cette opportunité d’affaire qui s’offre à eux. Ce serait dommage qu’ils ne soient pas à ce rendez-vous parce que j’estime que le faisant, je pourrais dire qu’ils manquent d’ambition étant donné qu’il n’y a pas meilleure occasion que celle- là pour faire sa promotion.
Quel est le coût des stands ?
Je pense qu’il ne faut pas voir cela en terme de coût, il faut qu’ils viennent seulement, on trouvera toujours un cadre pour s’entendre. Rencontrons-nous et nous saurons trouver la formule idéale pour satisfaire chacun mais surtout pour vous accompagner dans votre promotion. Je signale ici que l’invité spécial de ce salon, c’est le Premier ministre du Burkina Faso, S.E.M. Luc Adolphe Tiao. C’est dire encore que nous misons sur tout pour donner un cachet spécial à cette rencontre afin que les entreprises participantes partent de ce salon satisfaites. Il faut permettre aux différentes entreprises de toucher les 300 millions d’habitants que compte la sous-région Ouest africaine.
Gisèle Tienfô