Daloa - Les ex-combattants de la région du Haut-Sassandra ont été invités, dimanche, à adhérer au processus de désarmement, de démobilisation et de réintégration (DDR), afin de bénéficier des opportunités d’emplois dans le cadre du projet "10.000 artisans confirmés".
Pour ce faire, une mission de l’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la réintégration (ADDR), conduite par son chargé de communication et des relations extérieures, Aïdara Bouréhima Ould, et son spécialiste en Suivi et Evaluation , Coulibaly Peniyagui, a sensibilisé les ex-combattants et autres ex-miliciens à se faire inscrire à la mairie de Daloa, dans la perspective d’une prise en compte dans les trois mois à venir.
Le rôle de l’ADDR, selon M. Coulibaly, est de récupérer les nombreuses armes qui circulent dans le pays, afin d’apaiser le climat d’insécurité né des différentes crises. A cet effet, il a souhaité que ceux qui ont combattu hier aux côtés des forces s’engagent à rendre les armes afin d’intégrer le projet réservé à 10.065 ex-combattants ayant un métier auparavant.
Un filet maximum de réintégration de 800.000 F CFA sera attribué à chaque ex-combattant admis au projet après les différentes étapes de contrôle des postulants déjà profilés, de vérification du métier choisi, de formation sur le civisme et de la mise à disposition du fonds sur un compte bancaire.
Les ex-combattants n’ayant aucune qualification professionnelle seront recensés et formés pour intégrer d’autres projets d’emplois, de sorte que tous ou la plupart des 64777 ex-combattants connus dans les fichiers aient du travail pour ceux qui le désirent.
Plus de 5000 ex-combattants, note-t-on, ont déjà été insérés dans les corps paramilitaires que sont la Douane, la garde pénitentiaire et les Eaux et Forêts. La possibilité de leur réserver près de 2000 autres places dans la protection civile et le génie civil est envisagée.
(AIP)
Yy/kkp/kam
Pour ce faire, une mission de l’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la réintégration (ADDR), conduite par son chargé de communication et des relations extérieures, Aïdara Bouréhima Ould, et son spécialiste en Suivi et Evaluation , Coulibaly Peniyagui, a sensibilisé les ex-combattants et autres ex-miliciens à se faire inscrire à la mairie de Daloa, dans la perspective d’une prise en compte dans les trois mois à venir.
Le rôle de l’ADDR, selon M. Coulibaly, est de récupérer les nombreuses armes qui circulent dans le pays, afin d’apaiser le climat d’insécurité né des différentes crises. A cet effet, il a souhaité que ceux qui ont combattu hier aux côtés des forces s’engagent à rendre les armes afin d’intégrer le projet réservé à 10.065 ex-combattants ayant un métier auparavant.
Un filet maximum de réintégration de 800.000 F CFA sera attribué à chaque ex-combattant admis au projet après les différentes étapes de contrôle des postulants déjà profilés, de vérification du métier choisi, de formation sur le civisme et de la mise à disposition du fonds sur un compte bancaire.
Les ex-combattants n’ayant aucune qualification professionnelle seront recensés et formés pour intégrer d’autres projets d’emplois, de sorte que tous ou la plupart des 64777 ex-combattants connus dans les fichiers aient du travail pour ceux qui le désirent.
Plus de 5000 ex-combattants, note-t-on, ont déjà été insérés dans les corps paramilitaires que sont la Douane, la garde pénitentiaire et les Eaux et Forêts. La possibilité de leur réserver près de 2000 autres places dans la protection civile et le génie civil est envisagée.
(AIP)
Yy/kkp/kam