Les différents établissements secondaires et primaires de la ville de Ferkessédougou (nord, région du Tchologo) ont connu une affluence record, lundi, jour de la rentrée des classes, a constaté l'AIP.
Au lycée moderne de Ferkessédougou, élèves et professeurs étaient présents, et les élèves qui ont déjà fait leur inscription en ligne faisaient la queue, accompagnés par de leurs parents, devant les bureaux des éducateurs pour le dépôt de leurs dossiers.
Dans les établissements confessionnels, le constat est le même. "Les élèves et les maîtres sont présents et ont démarré ce matin par des séances de révision », a indiqué M. Kouamé Bouho Sylvestre, directeur de l'Ecole primaire catholique (EPC) garçon.
A l'EPP Résidentiel 2, la quasi-totalité des 300 élèves que compte cet établissement étaient en place, les enseignants également, a indiqué le directeur, M. Keïta N'valy, qui n’a pas manqué de relever l'absence d'eau courante dans son établissement.
A l'EPP Lanviara, les salles de classe ont affiché complet, a rassuré le responsable de cet établissement qui a regretté cependant le manque d'électricité dans certaines salles.
M. Yeo Yérégbely Siriki, directeur de l’EPP Bromakoté, se réjouit aussi de l’effectif de son établissement pour ce premier jour de rentrée des classes et souhaite la construction d’une clôture pour l’école, afin de juguler le problème de l'insécurité. "Nos écoles sont de véritables fumoirs", a-t-il décrié.
(AIP)
Au lycée moderne de Ferkessédougou, élèves et professeurs étaient présents, et les élèves qui ont déjà fait leur inscription en ligne faisaient la queue, accompagnés par de leurs parents, devant les bureaux des éducateurs pour le dépôt de leurs dossiers.
Dans les établissements confessionnels, le constat est le même. "Les élèves et les maîtres sont présents et ont démarré ce matin par des séances de révision », a indiqué M. Kouamé Bouho Sylvestre, directeur de l'Ecole primaire catholique (EPC) garçon.
A l'EPP Résidentiel 2, la quasi-totalité des 300 élèves que compte cet établissement étaient en place, les enseignants également, a indiqué le directeur, M. Keïta N'valy, qui n’a pas manqué de relever l'absence d'eau courante dans son établissement.
A l'EPP Lanviara, les salles de classe ont affiché complet, a rassuré le responsable de cet établissement qui a regretté cependant le manque d'électricité dans certaines salles.
M. Yeo Yérégbely Siriki, directeur de l’EPP Bromakoté, se réjouit aussi de l’effectif de son établissement pour ce premier jour de rentrée des classes et souhaite la construction d’une clôture pour l’école, afin de juguler le problème de l'insécurité. "Nos écoles sont de véritables fumoirs", a-t-il décrié.
(AIP)