La rentrée scolaire 2013-2014 qui a débuté lundi sur toute l’étendue du territoire national s'est effectuée timidement dans les établissements secondaires publics et privés de la ville d’Adiaké (sud, région du sud-Comoé) du fait du manque de moyens financiers ainsi que de la lenteur de l’opération d’inscription en ligne.
Selon des parents, le mode opératoire de l’inscription est très lent, et il oblige de recourir à de nombreux intermédiaires. "On s’inscrit d’abord chez l’un des opérateurs retenus par le Ministère. Ensuite, on va valider le ticket dans un cyber avant de se rendre dans les différents établissements. Tout cela fait qu’il y a trop d’intermédiaires pour une simple inscription", ont-ils dénoncé.
A cette difficulté, s’ajoute le manque de moyens financiers des parents qui sont, pour la plupart agriculteurs et pêcheurs, et attendent la fixation du prix de leurs produits de rente (café-cacao) ainsi que la réouverture de la pêche sur la lagune Aby, fermée depuis quatre mois pour assurer la scolarité de leur progéniture. Par contre, dans le primaire, une forte mobilisation a été constatée.
(Aip)
Selon des parents, le mode opératoire de l’inscription est très lent, et il oblige de recourir à de nombreux intermédiaires. "On s’inscrit d’abord chez l’un des opérateurs retenus par le Ministère. Ensuite, on va valider le ticket dans un cyber avant de se rendre dans les différents établissements. Tout cela fait qu’il y a trop d’intermédiaires pour une simple inscription", ont-ils dénoncé.
A cette difficulté, s’ajoute le manque de moyens financiers des parents qui sont, pour la plupart agriculteurs et pêcheurs, et attendent la fixation du prix de leurs produits de rente (café-cacao) ainsi que la réouverture de la pêche sur la lagune Aby, fermée depuis quatre mois pour assurer la scolarité de leur progéniture. Par contre, dans le primaire, une forte mobilisation a été constatée.
(Aip)