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Société Publié le mercredi 18 septembre 2013 | AIP

La production du gaz en hausse, celle du pétrole en baisse (gouvernement)

© AIP Par DR
Activités gouvernementales : Le Ministre de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné, porte-parole du Gouvernement
Le gouvernement a communiqué mercredi les chiffres, enregistrés fin juin, relatifs à la production du pétrole brut et du gaz naturel en Côte d’Ivoire, qui laissent transparaître une baisse au niveau du pétrole quand la production de gaz est en hausse, comparativement aux données de 2012.

La production pétrolière a chuté 12,5%, quand celle du gaz s’est accrue à hauteur 13,3% par rapport à 2012, a informé le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, rendant compte d’une réunion du conseil des ministres tenu ce jour.

"Les chiffres ne sont pas positifs puisqu’il s’agit de baisses mais il importe de dire que la Côte d’Ivoire est en ce moment dans un creux du fait que pendant un grand nombre d’années il n’y a pas eu de vraies explorations", a-t-il expliqué toutefois.

Même si sa part est de ce fait en baisse de 7,36% par rapport aux prévisions et, de 15,03% par rapport au premier semestre de 2012, c’est quelque 126 milliard de FCFA que devrait cependant engranger L’Etat, au compte de la production 2013, a indiqué par ailleurs le porte-parole du gouvernement.

Si la production de brut a baissé ce n’est cependant pas le cas des dérivés dont la production à fin juin 2013 s’est établie à 1 305 500 tonnes métrique, en hausse de 8,55% par rapport à fin juin 2012, a informé en outre le ministre Bruno Koné.

Ce qui a permis "un accroissement important des ventes", a-t-il dit, induisant ainsi une hausse de 40,5% des taxes sur les produits pétroliers soit 71,4 milliard contre 50 milliards en 2012.

Au niveau de l’électricité la production est en hausse de 17%, a informé également le porte-parole du gouvernement, se réjouissant de ce que le secteur ait retrouvé son équilibre.

"Il y a deux ans le secteur cumulait un déficit de 170 milliards de FCFA qui n’est plus que de 225 millions de FCFA à la date d’aujourd’hui. Nous pouvons dire que ce secteur a retrouvé son équilibre et que les risques encourus ont disparu", a-t-il exprimé.
(AIP)
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