Le Directeur Général Adjoint, chargé de la production et de la Prospective du Conseil Café-cacao, Edouard Kouassi N’guessan, a estimé jeudi, qu’il y a eu des manquements, des cas de fraude et des insuffisances constatées sur le terrain dans l’application du nouveau mécanisme de commercialisation, née de la reforme de la filière entreprise par le gouvernement ivoirien en 2011.
Pour pallier à cet état de fait, les dirigeants du Conseil café-cacao ont pris l’initiative d’associer le corps judiciaire à la bonne marche de la filière, à travers un atelier de formation sur le cadre réglementaire de la commercialisation du café et du cacao, destiné principalement aux magistrats des zones de production.
Cette session devra leur permettre d’une part, d’avoir une large connaissance des textes régissant la commercialisation du café et du cacao, et leur donner la possibilité d’autre part, de jouer le rôle régalien de l’Etat en matière de suivi de la commercialisation, par la prise de décisions de qualité dans la gestion des infractions.
Le préfet de la région du haut Sassandra, Brou Kouamé, s’est réjouit de ce que l’atelier permettra l’identification des difficultés rencontrées dans l’application des dispositions légales et règlementaires sur le terrain, afin de mieux combattre les fossoyeurs de notre économie, basée principalement sur le binôme café-cacao, au cours de la prochaine campagne agricole.
Les travaux en commissions donneront leurs résultats vendredi, notamment en ce qui concerne l’analyse des textes réglementaires en vigueur dans la filière, l’examen du dispositif répressif en matière de commercialisation du café et du cacao.
Yy/kam
Pour pallier à cet état de fait, les dirigeants du Conseil café-cacao ont pris l’initiative d’associer le corps judiciaire à la bonne marche de la filière, à travers un atelier de formation sur le cadre réglementaire de la commercialisation du café et du cacao, destiné principalement aux magistrats des zones de production.
Cette session devra leur permettre d’une part, d’avoir une large connaissance des textes régissant la commercialisation du café et du cacao, et leur donner la possibilité d’autre part, de jouer le rôle régalien de l’Etat en matière de suivi de la commercialisation, par la prise de décisions de qualité dans la gestion des infractions.
Le préfet de la région du haut Sassandra, Brou Kouamé, s’est réjouit de ce que l’atelier permettra l’identification des difficultés rencontrées dans l’application des dispositions légales et règlementaires sur le terrain, afin de mieux combattre les fossoyeurs de notre économie, basée principalement sur le binôme café-cacao, au cours de la prochaine campagne agricole.
Les travaux en commissions donneront leurs résultats vendredi, notamment en ce qui concerne l’analyse des textes réglementaires en vigueur dans la filière, l’examen du dispositif répressif en matière de commercialisation du café et du cacao.
Yy/kam