Les autorités ivoiriennes ont annoncé, ce vendredi 20 septembre, qu’elles refusaient de transférer Simone Gbagbo devant la Cour pénale internationale (CPI). La compagne de l’ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, est sous le coup d’un mandat d’arrêt de la CPI, rendu public, en novembre dernier, l’accusant de crimes contre l’humanité, suite aux violences post-électorales de 2010-2011. Cette décision n’est pas vraiment une surprise.
Le gouvernement ivoirien aura mis plus d’un an et demi à répondre à la CPI – et les tentatives de pression de la Cour - en rendant publique la procédure - n’y auront rien fait. On savait Alassane Ouattara agacé par la lenteur du dossier de Laurent Gbagbo devant les juges de la Cour pénale internationale. Cette... suite de l'article sur RFI
Le gouvernement ivoirien aura mis plus d’un an et demi à répondre à la CPI – et les tentatives de pression de la Cour - en rendant publique la procédure - n’y auront rien fait. On savait Alassane Ouattara agacé par la lenteur du dossier de Laurent Gbagbo devant les juges de la Cour pénale internationale. Cette... suite de l'article sur RFI