Ferkessédougou - Assurer le transport des forces de l'ordre et des des dozos est désormais formellement interdit aux transporteurs dans le jeune départempent de Kong, et la mesure a été signifié à certains d'entre eux, samedi, lors d’une récente attaque sur un axe routier reliant Kong, a rapporté l’un d’eux, victime de cette outrecuidance guerrière.
"Les coupeurs de route nous ont déconseillé de transporter des
éléments des forces de sécurité ou des dozos, chasseurs
traditionnels ; tous ceux qui ne respecteront pas ces consignes seront
tuées!", a révélé, à l'AIP, le conducteur d’un véhicule de transport de voyageurs et marchandises, dont le nom répond aux initiales de G.B.T.
Ce transporteur affirme avoir, lui-même, subi leur furie pour avoir transgressé
la mesure désormais en vigueur dans la localité au niveau de la circulation."Je transportais, ce jour-là, un dozo que nous n'avons pas remarqué lors de l'embarquement des passagers. Parvenus au niveau de Djeddana, ils nous ont arrêtés, et ont l'ont découvert ; celui-ci fut torturé avec la plus grande méchanceté ; nous avons plaidé, prié tous les dieux, mais ils sont restés de marbre, lacérant le corps de l'infortuné avec leurs couteaux », a déclaré G.B.T.
« Quand on aura fini avec lui(le dozo), on vous réglera vos comptes, passagers comme chauffeurs, ont-ils menacé, après nous avoir dépouillés de nos
biens, argent, portables et sacs de riz », a souligné l’une des victimes.
Ces bandits, très sûrs d’eux, au point de défier les forces de l’ordre de cette façon, auraient érigé un véritable état de siège qu’ils entendent jusqu’au bout contrôler. Selon des témoins des récentes attaques, ces bandits n'ont aucun lien avec les ex-combattants. "Ils sont d'apparence nomades, un accent bien étrange à la région et vêtus de haillons et chaussures déchirées ; ils
exploitent pistes et broussailles, de Souroukoutogo, un carrefour de sentiers desservant Tafiré, Katiola, Kalakala et Ferkessédougou.
Ti/nf
"Les coupeurs de route nous ont déconseillé de transporter des
éléments des forces de sécurité ou des dozos, chasseurs
traditionnels ; tous ceux qui ne respecteront pas ces consignes seront
tuées!", a révélé, à l'AIP, le conducteur d’un véhicule de transport de voyageurs et marchandises, dont le nom répond aux initiales de G.B.T.
Ce transporteur affirme avoir, lui-même, subi leur furie pour avoir transgressé
la mesure désormais en vigueur dans la localité au niveau de la circulation."Je transportais, ce jour-là, un dozo que nous n'avons pas remarqué lors de l'embarquement des passagers. Parvenus au niveau de Djeddana, ils nous ont arrêtés, et ont l'ont découvert ; celui-ci fut torturé avec la plus grande méchanceté ; nous avons plaidé, prié tous les dieux, mais ils sont restés de marbre, lacérant le corps de l'infortuné avec leurs couteaux », a déclaré G.B.T.
« Quand on aura fini avec lui(le dozo), on vous réglera vos comptes, passagers comme chauffeurs, ont-ils menacé, après nous avoir dépouillés de nos
biens, argent, portables et sacs de riz », a souligné l’une des victimes.
Ces bandits, très sûrs d’eux, au point de défier les forces de l’ordre de cette façon, auraient érigé un véritable état de siège qu’ils entendent jusqu’au bout contrôler. Selon des témoins des récentes attaques, ces bandits n'ont aucun lien avec les ex-combattants. "Ils sont d'apparence nomades, un accent bien étrange à la région et vêtus de haillons et chaussures déchirées ; ils
exploitent pistes et broussailles, de Souroukoutogo, un carrefour de sentiers desservant Tafiré, Katiola, Kalakala et Ferkessédougou.
Ti/nf