La Cour pénale internationale (Cpi) a demandé, lundi aux autorités ivoiriennes de prouver qu'elles peuvent ''mener des poursuites sérieuses" contre l'ex-Première dame, Simone Ehivet Gbagbo.
‘'Il faut présenter un recours qui est une exception d'irrecevabilité'', a déclaré, Fadi El-Abdallah, le porte-parole de l'institution ajoutant que la Cour est une instance de dernier recours.
Par ailleurs, la Cpi a demandé aux autorités ivoiriennes de prouver qu'elles sont capables de mener des ‘'poursuites sérieuses'' contre l'ex-Première dame, Simone Ehivet Gbagbo.
A l'issue du conseil des ministres extraordinaire de vendredi dernier, le gouvernement ivoirien a décidé de faire ‘'juger'' Simone Gbagbo en Côte d'Ivoire.
En novembre 2012, la Cpi a rendu public un mandat d'arrêt contre Simone Gbagbo, l'épouse de l'ex-Président ivoirien, Laurent Gbagbo, pour ‘'crimes contre l'humanité'', commis lors des violences postélectorales consécutives à l'élection présidentielle du 28 novembre 2010.
Simone Gbagbo, depuis la chute de son époux en avril 2011, est assignée à résidence surveillée à Odienné (987 kms, au Nord-Ouest d'Abidjan).
L'ex-président Laurent Gbagbo est détenu à La Haye depuis novembre 2011 par la Cpi, qui le soupçonne aussi de crimes contre l'Humanité commis pendant la crise née de son refus à reconnaitre la victoire de son adversaire, Alassane Ouattara à l'issue de la présidentielle du 28 novembre 2010.
HS/ls/APA
‘'Il faut présenter un recours qui est une exception d'irrecevabilité'', a déclaré, Fadi El-Abdallah, le porte-parole de l'institution ajoutant que la Cour est une instance de dernier recours.
Par ailleurs, la Cpi a demandé aux autorités ivoiriennes de prouver qu'elles sont capables de mener des ‘'poursuites sérieuses'' contre l'ex-Première dame, Simone Ehivet Gbagbo.
A l'issue du conseil des ministres extraordinaire de vendredi dernier, le gouvernement ivoirien a décidé de faire ‘'juger'' Simone Gbagbo en Côte d'Ivoire.
En novembre 2012, la Cpi a rendu public un mandat d'arrêt contre Simone Gbagbo, l'épouse de l'ex-Président ivoirien, Laurent Gbagbo, pour ‘'crimes contre l'humanité'', commis lors des violences postélectorales consécutives à l'élection présidentielle du 28 novembre 2010.
Simone Gbagbo, depuis la chute de son époux en avril 2011, est assignée à résidence surveillée à Odienné (987 kms, au Nord-Ouest d'Abidjan).
L'ex-président Laurent Gbagbo est détenu à La Haye depuis novembre 2011 par la Cpi, qui le soupçonne aussi de crimes contre l'Humanité commis pendant la crise née de son refus à reconnaitre la victoire de son adversaire, Alassane Ouattara à l'issue de la présidentielle du 28 novembre 2010.
HS/ls/APA