Les autorités ivoiriennes ont refusé de transférer Simone Gbagbo, l’ex-première dame de la Côte d’Ivoire, à la Haye comme la Cour pénale internationale (CPI) le recommandait. Ainsi donc, Simone Gbagbo sera jugée en Côte d’Ivoire et non à la Haye. Cette décision, de haute portée humaine, est à saluer à sa juste valeur. Et le camp de Laurent Gbagbo l’a accueillie favorablement. Cette décision a le mérite de participer à la décrispation du climat sociopolitique pour le moins tendu.
Pour le reste, elle est loin d’être innocente. Car, au-delà du geste d’apaisement, les autorités ivoiriennes semblent vouloir éviter d’ouvrir la boîte de Pandore. Envoyer, en effet, Simone Gbagbo à la Haye afin qu’elle y soit jugée, supposerait que, du côté de Ouattara,... suite de l'article sur Slate Afrique
Pour le reste, elle est loin d’être innocente. Car, au-delà du geste d’apaisement, les autorités ivoiriennes semblent vouloir éviter d’ouvrir la boîte de Pandore. Envoyer, en effet, Simone Gbagbo à la Haye afin qu’elle y soit jugée, supposerait que, du côté de Ouattara,... suite de l'article sur Slate Afrique