À la veille du débat de haut niveau de l’Assemblée générale, le Secrétaire général Ban Ki-moon s’est entretenu, avec le Président Alassane Ouattara, des progrès réalisés par la Côte d’Ivoire depuis la crise postélectorale.
D’après une déclaration du bureau du porte-parole de M. Ban, ce dernier a « salué les gestes » du gouvernement ivoirien en direction de l’opposition. Le chef de l’ONU a également encouragé la poursuite des efforts dans le domaine des droits de l’homme et de la reddition de comptes, y compris pour les violences sexuelles et sexistes.
Cette nation troublée d’Afrique de l’Ouest a connu une guerre civile en 2002. L’élection présidentielle de 2010, censée couronner le processus de paix engagé sous l’égide de l’ONU, a débouché sur une période de violences de plusieurs mois après le refus de M. Gbagbo de reconnaître sa défaite face à son rival Alassane Ouattara. L’ancien Président ivoirien a été contraint de quitter le pouvoir en avril 2011.
M. Ban a par ailleurs félicité le Président Ouattara de son leadership à la tête de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), le remerciant des contributions de troupes de la Côte d’Ivoire à la Mission de stabilisation multidimensionnelle intégrée des Nations Unies au Mali (MINUSMA).
MM. Ban et Ouattara ont également évoqué la reconfiguration de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Le Conseil de sécurité a décidé à l’unanimité de proroger le mandat de l’ONUCI jusqu’au 30 juin 2014, tout en lui confiant comme tâches prioritaires la protection des civils, le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des anciens combattants, ainsi que la réforme du secteur de la sécurité.
Les membres ont également convenu que le plafond autorisé pour les effectifs militaires de la mission, situé à 10.400, devait être ramené à 7.137 Casques bleus, comme le recommande le Secrétaire général dans son dernier rapport sur la question.
Le Conseil a également déclaré « son intention d’envisager », dans deux ans, une nouvelle réduction de l’effectif militaire de l’ONUCI, en ramenant cet effectif à 5.437 membres d’ici au 30 juin 2015, « en fonction de l’évolution des conditions de sécurité sur le terrain et de la capacité du gouvernement ivoirien de reprendre progressivement les fonctions de l’ONUCI en matière de sécurité ».
Au cours de son entrevue d’aujourd’hui, M. Ban a également annoncé avoir choisi la Côte d’Ivoire comme pays-pilote de la mise en œuvre de la stratégie des solutions durables de l’ONU.
Cette stratégie est destinée à appuyer les efforts en faveur des rapatriés, afin de permettre à ces réfugiés de refaire leur vie dans un environnement sécurisé, où ils pourront avoir accès à des services sociaux de base.
D’après une déclaration du bureau du porte-parole de M. Ban, ce dernier a « salué les gestes » du gouvernement ivoirien en direction de l’opposition. Le chef de l’ONU a également encouragé la poursuite des efforts dans le domaine des droits de l’homme et de la reddition de comptes, y compris pour les violences sexuelles et sexistes.
Cette nation troublée d’Afrique de l’Ouest a connu une guerre civile en 2002. L’élection présidentielle de 2010, censée couronner le processus de paix engagé sous l’égide de l’ONU, a débouché sur une période de violences de plusieurs mois après le refus de M. Gbagbo de reconnaître sa défaite face à son rival Alassane Ouattara. L’ancien Président ivoirien a été contraint de quitter le pouvoir en avril 2011.
M. Ban a par ailleurs félicité le Président Ouattara de son leadership à la tête de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), le remerciant des contributions de troupes de la Côte d’Ivoire à la Mission de stabilisation multidimensionnelle intégrée des Nations Unies au Mali (MINUSMA).
MM. Ban et Ouattara ont également évoqué la reconfiguration de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Le Conseil de sécurité a décidé à l’unanimité de proroger le mandat de l’ONUCI jusqu’au 30 juin 2014, tout en lui confiant comme tâches prioritaires la protection des civils, le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des anciens combattants, ainsi que la réforme du secteur de la sécurité.
Les membres ont également convenu que le plafond autorisé pour les effectifs militaires de la mission, situé à 10.400, devait être ramené à 7.137 Casques bleus, comme le recommande le Secrétaire général dans son dernier rapport sur la question.
Le Conseil a également déclaré « son intention d’envisager », dans deux ans, une nouvelle réduction de l’effectif militaire de l’ONUCI, en ramenant cet effectif à 5.437 membres d’ici au 30 juin 2015, « en fonction de l’évolution des conditions de sécurité sur le terrain et de la capacité du gouvernement ivoirien de reprendre progressivement les fonctions de l’ONUCI en matière de sécurité ».
Au cours de son entrevue d’aujourd’hui, M. Ban a également annoncé avoir choisi la Côte d’Ivoire comme pays-pilote de la mise en œuvre de la stratégie des solutions durables de l’ONU.
Cette stratégie est destinée à appuyer les efforts en faveur des rapatriés, afin de permettre à ces réfugiés de refaire leur vie dans un environnement sécurisé, où ils pourront avoir accès à des services sociaux de base.