Ils ont pris du galon et, pour certains, se sont habitués aux flashs des magazines people. En moins de trois ans, les anciens chefs de guerre venus du Nord de la Côte d'Ivoire se sont fait une place dans l'appareil sécuritaire. Mais ils sont toujours dans le viseur de la justice internationale.
Le treillis est neuf et la barbe taillée avec soin. Il n'est plus le redoutable chef rebelle qui administrait la région militaire de Vavoua-Séguéla, dans le centre-ouest de la Côte d'Ivoire, mais du haut de son 1,90 m, Issiaka Ouattara, alias Wattao, impose toujours le respect. En mars, il a été officiellement nommé commandant adjoint du Centre de coordination des opérations décisionnelles (CCDO). Les 750 hommes - militaires, gendarmes et policiers - placés sous ses ordres sont... suite de l'article sur Jeune Afrique
Le treillis est neuf et la barbe taillée avec soin. Il n'est plus le redoutable chef rebelle qui administrait la région militaire de Vavoua-Séguéla, dans le centre-ouest de la Côte d'Ivoire, mais du haut de son 1,90 m, Issiaka Ouattara, alias Wattao, impose toujours le respect. En mars, il a été officiellement nommé commandant adjoint du Centre de coordination des opérations décisionnelles (CCDO). Les 750 hommes - militaires, gendarmes et policiers - placés sous ses ordres sont... suite de l'article sur Jeune Afrique