Le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a déclaré, vendredi que Simone Gbagbo, l’épouse de l’ancien président, Laurent Gbagbo, aura un ‘’ procès équitable’’, estimant que tous les Ivoiriens peuvent, être, désormais, jugés sur place, a appris APA le même jour de bonnes sources à Abidjan.
‘' Je suis très certain qu'elle aura un procès équitable'' a indiqué M. Ouattara dans un entretien à la presse à New York avant de donner les raisons du refus du gouvernement de transférer l'ex-Première dame à la Cour pénale internationale (CPI).
‘'La justice de la Côte d'Ivoire est totalement opérationnelle. Par conséquent, il n'y a pas de raison que Mme Gbagbo soit transférée à la CPI'' a-t-il expliqué ajoutant que ‘' les Ivoiriens peuvent être désormais, jugés par la juridiction de leur pays'', désormais ‘'opérationnelle''.
Mme Simone Gbagbo, en résidence surveillée à Odienné (987 kms au nord) depuis avril 2011, est poursuivie par la Cour Pénale Internationale (Cpi) qui la soupçonne de ‘' crimes contre l'humanité'', commis lors des violences postélectorales de décembre 2010 à avril 2011, ayant, officiellement, fait 3000 morts.
HS/ls/APA
‘' Je suis très certain qu'elle aura un procès équitable'' a indiqué M. Ouattara dans un entretien à la presse à New York avant de donner les raisons du refus du gouvernement de transférer l'ex-Première dame à la Cour pénale internationale (CPI).
‘'La justice de la Côte d'Ivoire est totalement opérationnelle. Par conséquent, il n'y a pas de raison que Mme Gbagbo soit transférée à la CPI'' a-t-il expliqué ajoutant que ‘' les Ivoiriens peuvent être désormais, jugés par la juridiction de leur pays'', désormais ‘'opérationnelle''.
Mme Simone Gbagbo, en résidence surveillée à Odienné (987 kms au nord) depuis avril 2011, est poursuivie par la Cour Pénale Internationale (Cpi) qui la soupçonne de ‘' crimes contre l'humanité'', commis lors des violences postélectorales de décembre 2010 à avril 2011, ayant, officiellement, fait 3000 morts.
HS/ls/APA