Tous ceux qui s’intéressent à la politique le savent, il est extrêmement difficile pour les acteurs politiques de second plan d’exister politiquement et d’espérer se hisser à la tête de son parti. En Côte d’Ivoire par exemple, toutes les présidences des grands partis politiques sont hermétiquement verrouillées.
Le président du parti (PDCI, RDR, FPI) est quasi indétrônable, quelque soit ce qu’on peut bien lui reprocher. Un chef reste un chef, en dépit de considérations qui pourraient ou devraient - dans les démocraties confirmées - lui coûter sa place au profit d’un autre membre de la direction.
Les jeunes cadres sont les plus oubliés suite de l'article sur Afrik.com
Le président du parti (PDCI, RDR, FPI) est quasi indétrônable, quelque soit ce qu’on peut bien lui reprocher. Un chef reste un chef, en dépit de considérations qui pourraient ou devraient - dans les démocraties confirmées - lui coûter sa place au profit d’un autre membre de la direction.
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