Le nouveau maire d’Ayamé, Albert Dja Kadjo a organisé samedi, une cérémonie d’hommage à la population, sous le parrainage du directeur du cabinet du Président de la République, Marcel Amon Tanoh.
C’est une grande cérémonie de réjouissance que la ville d’Ayamé a abrité a mobilisé tout le Sud-Comoé et a été rythmée par la danse traditionnelle « Kôtôkô sanvè », célèbre groupe Abodan du village d’Akressi dont est originaire la mère du maire.
En effet, après son élection, le 21 avril, le maire a réuni toute la population d’Ayamé, sans distinction politique, religieuse ni ethnique pour leur manifester sa gratitude.
Il s’est dit heureux de se retrouver à la magistrature suprême de la commune d’Ayamé, localité qui a peu d’atouts, beaucoup de faiblesses mais très riche de ses ressources humaines, avec son équipe municipale forte de 29 personnes dont des experts dans divers domaines.
Albert Dja Kadjo promet de jouer sa partition dans l’édification d’une paix durable et la promotion d’un bien-être social. Pour cela, il dit avoir grand besoin des cadres qui, déplore-t-il, ne s’impliquent pas assez dans la vie de leur commune.
Le maire a prôné surtout de l’union de tous les fils et filles d’Ayamé, afin que le « Vivre Ensemble » soit une réalité caractéristique de la commune. « Pour le développement, taisons nos différences et nos divergences politiques pour que, main dans la main, nous regardions dans la même direction, parce que, unis, tout sera possible », a-t-il fait savoir à ses administrés.
Ses doléances au parrain de la cérémonie sont, entre autres, la restauration du marché, le désengorgement du Lycée BAD par la construction de nouvelles salles de classe, l’extension du réseau électrique au quartier Cadre extension, le bitumage de l’axe Ayamé-Songan et le bitumage des voies de la ville.
Le maire a par ailleurs rendu un vibrant hommage au Président de la République, Dr Alassane Ouattara qui, lors d’un de ses passages dans le Djandji, leur avait offert un tracteur qui a soulagé le budget de la mairie de 29 millions FCFA. Aussi, au nom de la population et en son nom propre, le maire a réclamé une visite du chef de l’Etat à Ayamé.
Pour sa part, le parrain de la cérémonie, Marcel Amon Tanoh, très ému par l’accueil chaleureux que lui a réservé la population d’Ayamé, a répondu favorablement, séance tenante, à certaines doléances.
Il s’est engagé fermement à construire des salles de classe, à offrir un terrain de sport au lycée BAD, l’unique établissement secondaire de la commune, et à couvrir le bâtiment d’une école primaire publique décoiffée par une tornade l’année dernière.
Quant à la route Ayamé-Bettié, il promet de rencontrer le ministre de tutelle (Patrick Achi, des Infrastructures économiques, ndlr) pour en savoir davantage. Mais avant, il a fortement apprécié la main tendue du maire envers qui il ne tarit pas d’éloges, en sollicitant son parrainage alors qu’ils sont tous les deux de formations politiques opposées.
A propos de la visite présidentielle que les populations appellent de tout leur vœu, le directeur de cabinet du Président de la République affirme qu’elle sera effective lorsque les promesses qu’il vient de faire verront le jour.
(AIP)
C’est une grande cérémonie de réjouissance que la ville d’Ayamé a abrité a mobilisé tout le Sud-Comoé et a été rythmée par la danse traditionnelle « Kôtôkô sanvè », célèbre groupe Abodan du village d’Akressi dont est originaire la mère du maire.
En effet, après son élection, le 21 avril, le maire a réuni toute la population d’Ayamé, sans distinction politique, religieuse ni ethnique pour leur manifester sa gratitude.
Il s’est dit heureux de se retrouver à la magistrature suprême de la commune d’Ayamé, localité qui a peu d’atouts, beaucoup de faiblesses mais très riche de ses ressources humaines, avec son équipe municipale forte de 29 personnes dont des experts dans divers domaines.
Albert Dja Kadjo promet de jouer sa partition dans l’édification d’une paix durable et la promotion d’un bien-être social. Pour cela, il dit avoir grand besoin des cadres qui, déplore-t-il, ne s’impliquent pas assez dans la vie de leur commune.
Le maire a prôné surtout de l’union de tous les fils et filles d’Ayamé, afin que le « Vivre Ensemble » soit une réalité caractéristique de la commune. « Pour le développement, taisons nos différences et nos divergences politiques pour que, main dans la main, nous regardions dans la même direction, parce que, unis, tout sera possible », a-t-il fait savoir à ses administrés.
Ses doléances au parrain de la cérémonie sont, entre autres, la restauration du marché, le désengorgement du Lycée BAD par la construction de nouvelles salles de classe, l’extension du réseau électrique au quartier Cadre extension, le bitumage de l’axe Ayamé-Songan et le bitumage des voies de la ville.
Le maire a par ailleurs rendu un vibrant hommage au Président de la République, Dr Alassane Ouattara qui, lors d’un de ses passages dans le Djandji, leur avait offert un tracteur qui a soulagé le budget de la mairie de 29 millions FCFA. Aussi, au nom de la population et en son nom propre, le maire a réclamé une visite du chef de l’Etat à Ayamé.
Pour sa part, le parrain de la cérémonie, Marcel Amon Tanoh, très ému par l’accueil chaleureux que lui a réservé la population d’Ayamé, a répondu favorablement, séance tenante, à certaines doléances.
Il s’est engagé fermement à construire des salles de classe, à offrir un terrain de sport au lycée BAD, l’unique établissement secondaire de la commune, et à couvrir le bâtiment d’une école primaire publique décoiffée par une tornade l’année dernière.
Quant à la route Ayamé-Bettié, il promet de rencontrer le ministre de tutelle (Patrick Achi, des Infrastructures économiques, ndlr) pour en savoir davantage. Mais avant, il a fortement apprécié la main tendue du maire envers qui il ne tarit pas d’éloges, en sollicitant son parrainage alors qu’ils sont tous les deux de formations politiques opposées.
A propos de la visite présidentielle que les populations appellent de tout leur vœu, le directeur de cabinet du Président de la République affirme qu’elle sera effective lorsque les promesses qu’il vient de faire verront le jour.
(AIP)