Aly Kéita, technicien
supérieur en télécommunication :
‘’Les choses
commencent bien’’
« La corruption peut baisser si seulement les autorités y mettent vraiment du sien, par un contrôle strict au sein des structures concernées. Cette année, par exemple, mon grand frère a présenté le concours d’instituteur et on ne lui a rien demandé ; contrairement aux autres années. Par le passé, il a perdu 200 mille francs à cause des promesses d’un administrateur véreux qui a ensuite disparu de la circulation ».
N’Guessan Mathurin,
reprographe :
‘’Tout est une question
de volonté’’
« Aujourd’hui, je n’ai ni d’exemple ni de preuve à donner. Mais je sais que par le passé, la corruption était très répandue et tout le monde en parlait. Que ce soient des concours de l’Ena ou de la police. Depuis deux ans, on n’en entend plus parler. Je pense que tout est une question de volonté ».
Innocent Beugré,
gestionnaire :
‘’Rien n’a changé’’
« La situation a empiré, au contraire. Je ne vois pas de changement avec le pouvoir actuel dans la fraude aux concours. Il m’est arrivé de débourser deux millions cinq cent mille pour ma petite sœur qui présentait le concours de la douane. Elle a échoué et jusqu’à présent, je cours après mon argent ».
Alphonse Doua Kpan,
chauffeur :
‘’Le phénomène a baissé’’
« J’encourage l’initiative des nouvelles autorités. C’est une façon de donner la chance à tous les candidats aux différents concours, qu’ils soient riches ou pauvres. A partir du moment où la personne a le niveau. Je n’ai pas eu la chance de réussir en son temps. Quand on me demandait de payer pendant les concours, je n’avais même pas un centime. Aujourd’hui, je crois que le phénomène a baissé. Et c’est tant mieux ».
Coulibaly Yaya, étudient :
‘’Il faut féliciter les
nouvelles autorités’’
« J’ai passé le concours d’instituteur cette année et je n’ai rien remarqué d’anormal. De la première à la dernière étape, les choses se sont très bien passées. Seulement, je n’ai pas eu de chance. Il faut dire qu’avant, il y avait trop de magouilles. Tout le monde en parlait, les concours étaient pourris par l’argent. Aujourd’hui, il faut féliciter les nouvelles autorités ».
Yéo Brahima :
‘’Rien n’est facile maintenant’’
« Il faut reconnaître qu’aujourd’hui, les concours sont devenus plus durs. Mais la magouille ne va pas disparaître à 100%».
Propos recueillis par HA (stagiaire)
supérieur en télécommunication :
‘’Les choses
commencent bien’’
« La corruption peut baisser si seulement les autorités y mettent vraiment du sien, par un contrôle strict au sein des structures concernées. Cette année, par exemple, mon grand frère a présenté le concours d’instituteur et on ne lui a rien demandé ; contrairement aux autres années. Par le passé, il a perdu 200 mille francs à cause des promesses d’un administrateur véreux qui a ensuite disparu de la circulation ».
N’Guessan Mathurin,
reprographe :
‘’Tout est une question
de volonté’’
« Aujourd’hui, je n’ai ni d’exemple ni de preuve à donner. Mais je sais que par le passé, la corruption était très répandue et tout le monde en parlait. Que ce soient des concours de l’Ena ou de la police. Depuis deux ans, on n’en entend plus parler. Je pense que tout est une question de volonté ».
Innocent Beugré,
gestionnaire :
‘’Rien n’a changé’’
« La situation a empiré, au contraire. Je ne vois pas de changement avec le pouvoir actuel dans la fraude aux concours. Il m’est arrivé de débourser deux millions cinq cent mille pour ma petite sœur qui présentait le concours de la douane. Elle a échoué et jusqu’à présent, je cours après mon argent ».
Alphonse Doua Kpan,
chauffeur :
‘’Le phénomène a baissé’’
« J’encourage l’initiative des nouvelles autorités. C’est une façon de donner la chance à tous les candidats aux différents concours, qu’ils soient riches ou pauvres. A partir du moment où la personne a le niveau. Je n’ai pas eu la chance de réussir en son temps. Quand on me demandait de payer pendant les concours, je n’avais même pas un centime. Aujourd’hui, je crois que le phénomène a baissé. Et c’est tant mieux ».
Coulibaly Yaya, étudient :
‘’Il faut féliciter les
nouvelles autorités’’
« J’ai passé le concours d’instituteur cette année et je n’ai rien remarqué d’anormal. De la première à la dernière étape, les choses se sont très bien passées. Seulement, je n’ai pas eu de chance. Il faut dire qu’avant, il y avait trop de magouilles. Tout le monde en parlait, les concours étaient pourris par l’argent. Aujourd’hui, il faut féliciter les nouvelles autorités ».
Yéo Brahima :
‘’Rien n’est facile maintenant’’
« Il faut reconnaître qu’aujourd’hui, les concours sont devenus plus durs. Mais la magouille ne va pas disparaître à 100%».
Propos recueillis par HA (stagiaire)