Le ministère de la Justice, en partenariat avec L'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), a initié, mardi, une table ronde sur la protection des témoins, victimes et autres personnes concernées par la crise postélectorale, au siège de la Cellule spéciale d’enquête à Cocody.
Cette table ronde, note-t-on, entend renforcer les capacités des acteurs étatiques, des organisations de la société civile et des acteurs communautaires en matière de protection et préparer un cadre légal.
Elle vise également à sensibiliser les décideurs, acteurs et bénéficiaires, sur la nécessité de protéger les témoins.
Le directeur de cabinet du ministère de la Justice, Abo Fodjo, a affirmé qu’il est important de mener une réflexion sur la protection des victimes, surtout en cette période de sortie de crise postélectorale.
Les discussions de la table ronde s’articuleront autour des thèmes, "le diagnostic du cadre normatif et institutionnel ivoirien en matière de protection, les pratiques ivoiriennes en la matière, l’identification des besoins et attentes en protection spécifiques au contexte ivoirien, la mobilisation des ressources pour la mise en œuvre de la protection".
La table ronde s’achève jeudi. Les réflexions, indique-t-on, devront conduire à une proposition d’avant-projet de loi portant mécanisme de protection des témoins, victimes et toute autre personne.
(AIP)
Cette table ronde, note-t-on, entend renforcer les capacités des acteurs étatiques, des organisations de la société civile et des acteurs communautaires en matière de protection et préparer un cadre légal.
Elle vise également à sensibiliser les décideurs, acteurs et bénéficiaires, sur la nécessité de protéger les témoins.
Le directeur de cabinet du ministère de la Justice, Abo Fodjo, a affirmé qu’il est important de mener une réflexion sur la protection des victimes, surtout en cette période de sortie de crise postélectorale.
Les discussions de la table ronde s’articuleront autour des thèmes, "le diagnostic du cadre normatif et institutionnel ivoirien en matière de protection, les pratiques ivoiriennes en la matière, l’identification des besoins et attentes en protection spécifiques au contexte ivoirien, la mobilisation des ressources pour la mise en œuvre de la protection".
La table ronde s’achève jeudi. Les réflexions, indique-t-on, devront conduire à une proposition d’avant-projet de loi portant mécanisme de protection des témoins, victimes et toute autre personne.
(AIP)