M. Schalk Mey de la société Mega Lube, une société sud-africaine spécialisée dans le recyclage et la transformation des déchets plastiques, a rencontré, mercredi 9 octobre, à l'hôtel du District d'Abidjan, le gouverneur Beugré Mambé. L'homme d'affaires sud-africain a dit à son hôte, être venu à Abidjan sur recommandation de l'ambassadeur de Côte d'Ivoire en Afrique du Sud, afin de lui présenter le savoir-faire de son entreprise en matière de recyclage et de transformation des déchets plastiques.
M. Schalk Mey a indiqué que son entreprise est à un niveau technologique avancé de recyclage des déchets plastiques qui permet de fabriquer, à partir de ces déchets, des tables bancs pour les écoles, des pontons, des barrières, des passerelles, etc. Il a aussi affirmé que cette technologie pourrait être développée en Côte d'Ivoire. Nul doute qu'elle pourrait aider le gouvernement ivoirien, qui a pris un décret d'interdiction de fabrication des sachets plastiques, à résoudre l'épineuse question de ces sachets qui ne sont pas biodégradables.
En Afrique du Sud, selon M. Schalk Mey, la technologie développée par son entreprise a permis de débarrasser ce pays de 40% des déchets plastiques. Cela pourrait être une opportunité pour la Côte d'Ivoire d'expérimenter l'utilisation de cette technologie. Et le gouverneur Beugré Mambé a dit qu'il y était très intéressé. Pour lui, il y a possibilité d'utiliser les déchets plastiques pour d'autres usages. "Il nous revient de réfléchir à cette question qui préoccupe le gouvernement".
Outre l'Afrique du Sud, qui est en train d'apporter solution à la pollution des déchets plastiques, le gouverneur du District d'Abidjan a cité également les exemples des pays comme le Burkina Faso et le Cameroun qui ont engagé une lutte frontale contre cette forme de pollution. Et si la Côte d'Ivoire adoptait cette technologie, selon le gouverneur Mambé, cela présenterait beaucoup d'avantages. Car les sachets plastiques non biodégradables causent, dit-il, beaucoup de dégâts au niveau par exemple des tuyauteries qu'ils bouchent. Ils sont la plupart du temps des nids de bactéries diverses, donc sources de maladies.
En tous les cas, les déchets plastiques sont la cause de beaucoup de soucis actuellement. Ils pourraient, au dire du premier magistrat du District d'Abidjan, "passer du stade d'ordure à celui de l'or". Car si demain, une usine de transformation des déchets plastiques s'installait en Côte d'Ivoire, il est indéniable que de nombreux Ivoiriens vendraient des sachets plastiques. Cela aura pour avantage, selon lui de régler définitivement ce problème d'insalubrité des sachets non bio-degradables mais aussi et surtout de trouver des emplois pour les ivoiriens. Notons que dans le cadre du recyclage des matières usagés, le gouverneur Mambé reçoit en audience mardi prochain, des opérateurs italiens économiques spécialisés dans le recyclage des pneus usés.
Mais en attendant, il faut signaler que dans le cadre d'une campagne de lutte contre le paludisme, l'ONG américaine San Francisco Abidjan Sister City Commitee, sous l'impulsion des services du District D'abidjan, a offert un lot de médicaments ce mercredi, au centre de santé communautaire de la commune sous-préfecture de Songon. Notons que San Francisco et Abidjan sont liées par des liens de jumelage.
Source: DIRCOM DISTRICT ABIDJAN
M. Schalk Mey a indiqué que son entreprise est à un niveau technologique avancé de recyclage des déchets plastiques qui permet de fabriquer, à partir de ces déchets, des tables bancs pour les écoles, des pontons, des barrières, des passerelles, etc. Il a aussi affirmé que cette technologie pourrait être développée en Côte d'Ivoire. Nul doute qu'elle pourrait aider le gouvernement ivoirien, qui a pris un décret d'interdiction de fabrication des sachets plastiques, à résoudre l'épineuse question de ces sachets qui ne sont pas biodégradables.
En Afrique du Sud, selon M. Schalk Mey, la technologie développée par son entreprise a permis de débarrasser ce pays de 40% des déchets plastiques. Cela pourrait être une opportunité pour la Côte d'Ivoire d'expérimenter l'utilisation de cette technologie. Et le gouverneur Beugré Mambé a dit qu'il y était très intéressé. Pour lui, il y a possibilité d'utiliser les déchets plastiques pour d'autres usages. "Il nous revient de réfléchir à cette question qui préoccupe le gouvernement".
Outre l'Afrique du Sud, qui est en train d'apporter solution à la pollution des déchets plastiques, le gouverneur du District d'Abidjan a cité également les exemples des pays comme le Burkina Faso et le Cameroun qui ont engagé une lutte frontale contre cette forme de pollution. Et si la Côte d'Ivoire adoptait cette technologie, selon le gouverneur Mambé, cela présenterait beaucoup d'avantages. Car les sachets plastiques non biodégradables causent, dit-il, beaucoup de dégâts au niveau par exemple des tuyauteries qu'ils bouchent. Ils sont la plupart du temps des nids de bactéries diverses, donc sources de maladies.
En tous les cas, les déchets plastiques sont la cause de beaucoup de soucis actuellement. Ils pourraient, au dire du premier magistrat du District d'Abidjan, "passer du stade d'ordure à celui de l'or". Car si demain, une usine de transformation des déchets plastiques s'installait en Côte d'Ivoire, il est indéniable que de nombreux Ivoiriens vendraient des sachets plastiques. Cela aura pour avantage, selon lui de régler définitivement ce problème d'insalubrité des sachets non bio-degradables mais aussi et surtout de trouver des emplois pour les ivoiriens. Notons que dans le cadre du recyclage des matières usagés, le gouverneur Mambé reçoit en audience mardi prochain, des opérateurs italiens économiques spécialisés dans le recyclage des pneus usés.
Mais en attendant, il faut signaler que dans le cadre d'une campagne de lutte contre le paludisme, l'ONG américaine San Francisco Abidjan Sister City Commitee, sous l'impulsion des services du District D'abidjan, a offert un lot de médicaments ce mercredi, au centre de santé communautaire de la commune sous-préfecture de Songon. Notons que San Francisco et Abidjan sont liées par des liens de jumelage.
Source: DIRCOM DISTRICT ABIDJAN