Après avoir posé les jalons du projet en octobre 2012 à Ouagadougou, Dominique Ouattara et Chantal Compaoré ont finalisé, hier à Abidjan, l’accord de coopération en matière de trafics transfrontaliers d’enfants.
Stop à l’exploitation et à la traite des enfants, pouvait-on lire, hier, sur des banderoles à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères, au Plateau. C’était à l’occasion de la cérémonie de signature d’un accord de coopération entre la Côte d’ivoire et le Burkina Faso. Une rencontre au cours de laquelle les Premières dames ivoirienne et Burkinabè se sont formellement engagées à lutter contre la traite et l’exploitation transfrontalière des enfants. « Je reste convaincue qu’en signant cet accord de coopération qui vise à endiguer la traite transfrontalière des enfants entre nos deux pays, nous posons en amont, les bases d’une réponse adaptée pour empêcher le fléau », s’est félicitée Dominique Ouattara, Première dame de Côte d’Ivoire. Elle s’est dit également heureuse que le combat se fasse en association avec « sa sœur Chantal » du Burkina. « La façon de nous réunir nous permettra de lutter beaucoup plus efficacement contre les abus et les violences qui sont quotidiennement faits à des milliers d’enfants dans nos deux Etats», a-t-elle ajouté. Il s’agira pour les deux femmes d’encourager leurs gouvernements respectifs à la mise en œuvre effective des dispositions de l’accord de coopération en matière de lutte contre la traite transfrontalière des enfants. Mmes Ouattara et Compaoré incitent leurs pays à renforcer les mécanismes nationaux de prise en charge des enfants victimes de traite et d’exploitation. Elles insistent également sur l’éradication du fléau à travers la traque des auteurs. Selon Mme Ouattara, une enquête démographique note que 39% d’enfants âgés de cinq à quatorze ans sont privés de leurs droits. Pour elle, il est impératif d’agir. La déclaration conjointe des deux Premières dames relative à la mise en œuvre de l’accord a mis en avant les liens d’amitié et de fraternité qui existent entre les deux peuples. Notons que Chantal Compaoré est arrivée mercredi en terre ivoirienne accompagnée d’une forte délégation.
HA (stagiaire)
Stop à l’exploitation et à la traite des enfants, pouvait-on lire, hier, sur des banderoles à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères, au Plateau. C’était à l’occasion de la cérémonie de signature d’un accord de coopération entre la Côte d’ivoire et le Burkina Faso. Une rencontre au cours de laquelle les Premières dames ivoirienne et Burkinabè se sont formellement engagées à lutter contre la traite et l’exploitation transfrontalière des enfants. « Je reste convaincue qu’en signant cet accord de coopération qui vise à endiguer la traite transfrontalière des enfants entre nos deux pays, nous posons en amont, les bases d’une réponse adaptée pour empêcher le fléau », s’est félicitée Dominique Ouattara, Première dame de Côte d’Ivoire. Elle s’est dit également heureuse que le combat se fasse en association avec « sa sœur Chantal » du Burkina. « La façon de nous réunir nous permettra de lutter beaucoup plus efficacement contre les abus et les violences qui sont quotidiennement faits à des milliers d’enfants dans nos deux Etats», a-t-elle ajouté. Il s’agira pour les deux femmes d’encourager leurs gouvernements respectifs à la mise en œuvre effective des dispositions de l’accord de coopération en matière de lutte contre la traite transfrontalière des enfants. Mmes Ouattara et Compaoré incitent leurs pays à renforcer les mécanismes nationaux de prise en charge des enfants victimes de traite et d’exploitation. Elles insistent également sur l’éradication du fléau à travers la traque des auteurs. Selon Mme Ouattara, une enquête démographique note que 39% d’enfants âgés de cinq à quatorze ans sont privés de leurs droits. Pour elle, il est impératif d’agir. La déclaration conjointe des deux Premières dames relative à la mise en œuvre de l’accord a mis en avant les liens d’amitié et de fraternité qui existent entre les deux peuples. Notons que Chantal Compaoré est arrivée mercredi en terre ivoirienne accompagnée d’une forte délégation.
HA (stagiaire)