Abidjan\ – Le président du Conseil national des Burkinabé de Côte d’Ivoire (CNB-CI), Salogo Mamadou, appelle les autorités à soutenir la section ivoirienne l’Union des ressortissants des Etats membres de la CEDEAO (UREM-CEDEAO-CI) présidée par Al Hassann Demba et qui ambitionne de réussir l’intégration régionale pour aller de "la CEDEAO des Etats à la CEDEAO des Peuples".
Lors d’un point presse qu’il a animé vendredi au siège de l’UREM-CEDEAO-CI, au Plateau (Abidjan), M. Salogo, par ailleurs vice-président chargé de l’agriculture et du litige foncier à l’Union, s’est interrogé sur des structures qui rament à contre-courant de la volonté exprimée par les membres de l’organisation régionale, par le biais de leurs représentants.
En effet, Al Hassann Demba a été confirmé à la présidence de l’UREM-CEDEAO-CI, à l’issue d’un vote des représentants des 15 pays membres de la CEDEAO, organisé le 5 août à Abidjan, avec neuf voix contre six pour son adversaire, le Togolais Yakoubi Laurent.
M. Salogo a noté que le président élu de l’Union et ses collaborateurs comptent jouer un rôle essentiel dans le suivi et l’application des décisions de la CEDEAO. Il a cité nommément le Bureau Ivoirien de Promotion de l’Intégration Africaine (BIPIA) qu’il a invité « à surseoir définitivement à toute tentative de reprise de joute électorale », sur instigation de quelques contestataires.
Le vice-président de l’UREM-CEDEAO chargé de l’agriculture et du litige foncier a d’ailleurs invité ces personnes à rejoindre la liste élue et menée par M. Demba, en vue d’œuvrer ensemble à la réconciliation entre les peuples vivant en Côte d’Ivoire. « Nous serons un véritable Observatoire des projets pouvant rendre effectif le bien-être des Peuples », a-t-il promis, faisant observer que la tâche est immense.
« C’est en Al Hassann Demba que se confient les huit millions des membres que comptent l’UREM-CEDEAO en Côte d’Ivoire (…). C’est donc un grand président doté de valeurs intrinsèques inimaginables qui pourra mieux que quiconque défendre les problèmes des ressortissants de la CEDEAO. Nous invitons tout le monde à le regarder travailler et à lui demander des comptes dans cinq ans », a-t-il résumé.
Mamadou Salogo a, en outre, préconisé que l’UREM-CEDEAO-CI et son président soient pleinement associés à toutes les actions de développement et de concertation de la CEDEAO, pour jouer le rôle dévolu à l’organisation.
Par ailleurs, le président du CNB-CI, élu le 12 octobre après avoir assuré, pendant six mois, l’intérim de son prédécesseur, décédé, a réaffirmé sa détermination à engager la communauté burkinabé dans les actions de réconciliation en Côte d’Ivoire. Il a fait observer que cette communauté, la plus forte de la sous-région vivant en Côte d’Ivoire (trois millions), a le plus souffert, après les Ivoiriens, des crises successives dans le pays.
(AIP)
kkp/cmas
(AIP)
Lors d’un point presse qu’il a animé vendredi au siège de l’UREM-CEDEAO-CI, au Plateau (Abidjan), M. Salogo, par ailleurs vice-président chargé de l’agriculture et du litige foncier à l’Union, s’est interrogé sur des structures qui rament à contre-courant de la volonté exprimée par les membres de l’organisation régionale, par le biais de leurs représentants.
En effet, Al Hassann Demba a été confirmé à la présidence de l’UREM-CEDEAO-CI, à l’issue d’un vote des représentants des 15 pays membres de la CEDEAO, organisé le 5 août à Abidjan, avec neuf voix contre six pour son adversaire, le Togolais Yakoubi Laurent.
M. Salogo a noté que le président élu de l’Union et ses collaborateurs comptent jouer un rôle essentiel dans le suivi et l’application des décisions de la CEDEAO. Il a cité nommément le Bureau Ivoirien de Promotion de l’Intégration Africaine (BIPIA) qu’il a invité « à surseoir définitivement à toute tentative de reprise de joute électorale », sur instigation de quelques contestataires.
Le vice-président de l’UREM-CEDEAO chargé de l’agriculture et du litige foncier a d’ailleurs invité ces personnes à rejoindre la liste élue et menée par M. Demba, en vue d’œuvrer ensemble à la réconciliation entre les peuples vivant en Côte d’Ivoire. « Nous serons un véritable Observatoire des projets pouvant rendre effectif le bien-être des Peuples », a-t-il promis, faisant observer que la tâche est immense.
« C’est en Al Hassann Demba que se confient les huit millions des membres que comptent l’UREM-CEDEAO en Côte d’Ivoire (…). C’est donc un grand président doté de valeurs intrinsèques inimaginables qui pourra mieux que quiconque défendre les problèmes des ressortissants de la CEDEAO. Nous invitons tout le monde à le regarder travailler et à lui demander des comptes dans cinq ans », a-t-il résumé.
Mamadou Salogo a, en outre, préconisé que l’UREM-CEDEAO-CI et son président soient pleinement associés à toutes les actions de développement et de concertation de la CEDEAO, pour jouer le rôle dévolu à l’organisation.
Par ailleurs, le président du CNB-CI, élu le 12 octobre après avoir assuré, pendant six mois, l’intérim de son prédécesseur, décédé, a réaffirmé sa détermination à engager la communauté burkinabé dans les actions de réconciliation en Côte d’Ivoire. Il a fait observer que cette communauté, la plus forte de la sous-région vivant en Côte d’Ivoire (trois millions), a le plus souffert, après les Ivoiriens, des crises successives dans le pays.
(AIP)
kkp/cmas
(AIP)
