Des experts des Etats membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest ( CEDEAO) sont réunis lundi à Abidjan pour réfléchir sur les mécanismes nationaux d'alerte précoce afin de prévenir les conflits et préserver la paix et la sécurité dans la sous-région.
L'atelier prend fin jeudi par l'adoption d'un "cadre stratégique" des mécanismes nationaux d'alerte et de réponse dans la sous-région ouest africaine.
"La mise en place de ces mécanismes permettra non seulement de réduire considérablement les situations confligènes mais aussi et surtout de favoriser la création d'un espace de paix et de sécurité, préalables au développement et à l'intégration économique de la région", a indiqué le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi, à l'ouverture des travaux.
M. Diby Koffi a relevé les menaces de "type nouveau" auxquelles est confrontée l'Afrique de l'Ouest, notamment, la montée des mouvements djihadistes, la criminalité transfrontalière organisée et la recrudescence de l'insécurité maritime.
"La prévention et la lutte contre ces menaces constituent les défis majeurs à relever par la mutualisation des stratégies et d'instruments de prévention adaptés", a-t-il souligné.
Pour le vice-président de la commission de la CEDEAO, Toga McIntosh, les systèmes d'alerte précoce sont "un dispositif adéquat" permettant aux Etats de "répondre efficacement" aux défis de prévention, de gestion des conflits et de consolidation de la paix.
"A l'issue des travaux, il faudra trouver des synergies adéquates entre, d'une part, les mécanismes nationaux d'alerte précoce de la Commission de la CEDEAO et, d'autre part, entre les systèmes nationaux d'alerte précoce des Etats membres dans le cadre de la coopération et des échanges d'informations", a plaidé de son côté la représentante du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), Aïssata Beye.
La CEDEAO a été créée en 1975 et regroupe 15 Etats membres.
L'atelier prend fin jeudi par l'adoption d'un "cadre stratégique" des mécanismes nationaux d'alerte et de réponse dans la sous-région ouest africaine.
"La mise en place de ces mécanismes permettra non seulement de réduire considérablement les situations confligènes mais aussi et surtout de favoriser la création d'un espace de paix et de sécurité, préalables au développement et à l'intégration économique de la région", a indiqué le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi, à l'ouverture des travaux.
M. Diby Koffi a relevé les menaces de "type nouveau" auxquelles est confrontée l'Afrique de l'Ouest, notamment, la montée des mouvements djihadistes, la criminalité transfrontalière organisée et la recrudescence de l'insécurité maritime.
"La prévention et la lutte contre ces menaces constituent les défis majeurs à relever par la mutualisation des stratégies et d'instruments de prévention adaptés", a-t-il souligné.
Pour le vice-président de la commission de la CEDEAO, Toga McIntosh, les systèmes d'alerte précoce sont "un dispositif adéquat" permettant aux Etats de "répondre efficacement" aux défis de prévention, de gestion des conflits et de consolidation de la paix.
"A l'issue des travaux, il faudra trouver des synergies adéquates entre, d'une part, les mécanismes nationaux d'alerte précoce de la Commission de la CEDEAO et, d'autre part, entre les systèmes nationaux d'alerte précoce des Etats membres dans le cadre de la coopération et des échanges d'informations", a plaidé de son côté la représentante du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), Aïssata Beye.
La CEDEAO a été créée en 1975 et regroupe 15 Etats membres.