OUAGADOUGOU - En prélude à la 19e Conférence sur le climat à Varsovie (Pologne), les négociateurs ouest-africains tiennent du 22 au 24 octobre 2013, un atelier préparatoire en vue de les permettre d’adopter une position commune.
Organisé par le Comité inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) en collaboration avec la CEDEAO, cet atelier a pour objectifs de renforcer les compétences des négociateurs des pays membres du CILSS sur les négociations internationales sur le climat.
Au cours des 72 heures de travaux, les participants devront identifier les positions à défendre dans l’espace CILSS-CEDEAO à Varsovie, maîtriser les alliances stratégiques afin que leurs positions soient prises en compte dans les décisions.
Le secrétaire exécutif adjoint du CILSS, Blamsia Braoussala a indiqué que cet atelier permettra, entre autres, de faire le bilan des négociations climatiques globales de Doha, de cerner les enjeux économiques et techniques des négociations et comprendre les rapports de force géopolitiques.
Le secrétaire général du ministère de l’Environnement et du Développement durable, Lambert Ouédraogo a, pour sa part, souligné qu’il est important que les pays africains puissent arrêter des positions communes au regard des enjeux de la Conférence de Varsovie.
Il s’agit effectivement au cours de cette Conférence de déboucher sur un accord international pour une deuxième période d’ engagement du protocole de Kyoto à partir de 2013, de la mobilisation de 100 milliards de dollars US par an d’ici à 2020 pour le compte du fonds vert pour les pays industrialisés.
Les négociations de Varsovie devront par ailleurs déboucher sur un mécanisme de compensation en faveur des pays en développement les plus vulnérables, ainsi que le développement des financements et le transfert de technologies pour lesdits pays.
Organisé par le Comité inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) en collaboration avec la CEDEAO, cet atelier a pour objectifs de renforcer les compétences des négociateurs des pays membres du CILSS sur les négociations internationales sur le climat.
Au cours des 72 heures de travaux, les participants devront identifier les positions à défendre dans l’espace CILSS-CEDEAO à Varsovie, maîtriser les alliances stratégiques afin que leurs positions soient prises en compte dans les décisions.
Le secrétaire exécutif adjoint du CILSS, Blamsia Braoussala a indiqué que cet atelier permettra, entre autres, de faire le bilan des négociations climatiques globales de Doha, de cerner les enjeux économiques et techniques des négociations et comprendre les rapports de force géopolitiques.
Le secrétaire général du ministère de l’Environnement et du Développement durable, Lambert Ouédraogo a, pour sa part, souligné qu’il est important que les pays africains puissent arrêter des positions communes au regard des enjeux de la Conférence de Varsovie.
Il s’agit effectivement au cours de cette Conférence de déboucher sur un accord international pour une deuxième période d’ engagement du protocole de Kyoto à partir de 2013, de la mobilisation de 100 milliards de dollars US par an d’ici à 2020 pour le compte du fonds vert pour les pays industrialisés.
Les négociations de Varsovie devront par ailleurs déboucher sur un mécanisme de compensation en faveur des pays en développement les plus vulnérables, ainsi que le développement des financements et le transfert de technologies pour lesdits pays.