Aboisso - La principale, Mme Louise, a annoncé, mardi, que l’avenir des 650 élèves pourrait se compromettre en raison d’un manque d’enseignants, d’éducateurs ainsi que de tables-bancs, depuis la rentrée des classes, au collège moderne Jacques Batteur (Cmjb) d’Affiénou, dans le département d’Aboisso (région du Sud-Comoé).
Selon la principale, Mme Louise, le collège, ouvert en 2007, compte cette année 650 élèves pour un personnel d’encadrement et administratif, jugé insuffisant, d’un principal, 19 professeurs, un éducateur, un économe, un censeur. Il manque de tables-bancs, de laboratoires et de terrain de sport.
Pour Louise, ce joyau architectural de trois bâtiments, comprenant un administratif et deux étagés de huit classes, électrifié, avec toutes commodités,est bâti sur une superficie de dix hectares. Il comporte notamment une salle des professeurs, une bibliothèque, des bureaux administratifs, cinq points d’eau et huit toilettes abîmées recevant les enfants des dix villages du canton Afféma. Celui-ci n'aurait pu assurer d’encadrement, si le Coges n’avait pas recruté de gardien, secrétaire et éducateur, souligne-t-on.
Quoiqu'inachevé, le Cmjb offre de nombreuses facilités, parmi lesquelles l'ouverture d'une cantine, don d'un groupe industriel français, baptisé "Jacques Batteur", du nom de son fondateur, Laurent Batteur.
(Aip)
cb/ik/nf
Selon la principale, Mme Louise, le collège, ouvert en 2007, compte cette année 650 élèves pour un personnel d’encadrement et administratif, jugé insuffisant, d’un principal, 19 professeurs, un éducateur, un économe, un censeur. Il manque de tables-bancs, de laboratoires et de terrain de sport.
Pour Louise, ce joyau architectural de trois bâtiments, comprenant un administratif et deux étagés de huit classes, électrifié, avec toutes commodités,est bâti sur une superficie de dix hectares. Il comporte notamment une salle des professeurs, une bibliothèque, des bureaux administratifs, cinq points d’eau et huit toilettes abîmées recevant les enfants des dix villages du canton Afféma. Celui-ci n'aurait pu assurer d’encadrement, si le Coges n’avait pas recruté de gardien, secrétaire et éducateur, souligne-t-on.
Quoiqu'inachevé, le Cmjb offre de nombreuses facilités, parmi lesquelles l'ouverture d'une cantine, don d'un groupe industriel français, baptisé "Jacques Batteur", du nom de son fondateur, Laurent Batteur.
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