Divo, Des individus non encore identifiés sont entrés nuitamment dans les salles de classe du groupe scolaire Divo dioulabougou-Fraternité pour y déverser des excréments humains, a constaté l'AIP, mercredi.
La situation dure depuis plusieurs semaines sans que personne ne s’explique les motivations des "assaillants" nocturnes, a-t-on appris.
Une fois à l’intérieur des salles, ces personnes défèquent sur les bureaux des instituteurs, déposent des tas d’excréments dans les casiers des élèves et badigeonnent les différents tableaux.
"Ils ont commencé par entrer dans les classes et à badigeonner les tableaux. Pour les contrecarrer, le coges de l’établissement a mis des cadenas sur les portes. Maintenant, ils cassent ces cadenas pour accomplir leur sale besogne. C’est insensé, sorcier et inhumain", s’est indigné l’inspecteur de l’enseignement primaire de Divo 1, Gnonzibo Albert.
Fort de douze écoles dont deux de la maternelle, le groupe scolaire Divo dioulabougou-Fraternité, avec 3.260 élèves en 2012/2013, est le plus grand établissement primaire de la région du loh djiboua, rappelle-t-on.
Il ne dispose toutefois ni de clôture ni de vigiles pour surveiller les lieux, une fois les cours achevés.
En dépit de cela les visiteurs nocturnes préfèrent les classes pour accomplir leur forfait, donnant le sentiment de vouloir transmettre un message.
"Nous devons engager rapidement deux gardiens et songer à réaliser une clôture de même qu’à réaliser un vaste programme d’assainissement du site", a ajouté Gnonzibo Albert, qui a promis d’avoir un regard particulier sur cette école.
En attendant, le personnel projette un arrêt total et prolongé de travail, afin qu’une solution définitive soit trouvée.
(AIP)
Gso/kkp/kam
La situation dure depuis plusieurs semaines sans que personne ne s’explique les motivations des "assaillants" nocturnes, a-t-on appris.
Une fois à l’intérieur des salles, ces personnes défèquent sur les bureaux des instituteurs, déposent des tas d’excréments dans les casiers des élèves et badigeonnent les différents tableaux.
"Ils ont commencé par entrer dans les classes et à badigeonner les tableaux. Pour les contrecarrer, le coges de l’établissement a mis des cadenas sur les portes. Maintenant, ils cassent ces cadenas pour accomplir leur sale besogne. C’est insensé, sorcier et inhumain", s’est indigné l’inspecteur de l’enseignement primaire de Divo 1, Gnonzibo Albert.
Fort de douze écoles dont deux de la maternelle, le groupe scolaire Divo dioulabougou-Fraternité, avec 3.260 élèves en 2012/2013, est le plus grand établissement primaire de la région du loh djiboua, rappelle-t-on.
Il ne dispose toutefois ni de clôture ni de vigiles pour surveiller les lieux, une fois les cours achevés.
En dépit de cela les visiteurs nocturnes préfèrent les classes pour accomplir leur forfait, donnant le sentiment de vouloir transmettre un message.
"Nous devons engager rapidement deux gardiens et songer à réaliser une clôture de même qu’à réaliser un vaste programme d’assainissement du site", a ajouté Gnonzibo Albert, qui a promis d’avoir un regard particulier sur cette école.
En attendant, le personnel projette un arrêt total et prolongé de travail, afin qu’une solution définitive soit trouvée.
(AIP)
Gso/kkp/kam