Le président Sénégalais Macky Sall a salué vendredi à Dakar la participation massive de ses pairs au sommet extraordinaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) qui se tient dans la capitale sénégalaise.
« Votre participation massive à ce rendez-vous de Dakar est un signal fort de notre détermination à relever ensemble les défis devant nous, pour faire de notre sous-région un cadre propice d'intégration pour le mieux-être de nos peuples », a affirmé le Chef de l'Etat sénégalais, dans son discours de bienvenue.
Selon lui, la promesse consignée par les pères fondateurs de la CEDEAO engage les actuels chefs d'Etat à poursuivre leurs efforts afin de « maintenir la paix et la sécurité dans l'espace communautaire, libéraliser les échanges, mobiliser les ressources nécessaires au financement de nos projets et parachever la construction du marché commun de la CEDEAO ».
De l'avis toujours du Président sénégalais, les Chefs d'Etat de la CEDEAO balisent la voie pour atteindre leurs fins communes en décidant de consacrer un sommet spécial aux questions essentielles du Tarif extérieur commun (TEC), du prélèvement communautaire, de la libre circulation des personnes et des biens et des Accords de partenariat économique (APE).
« La réussite de l'exercice exige certainement que Etat membre s'acquitte de la part de responsabilité et de solidarité qui lui revient dans notre quête fécondante de solutions consensuelles », note le président Sall.
C'est à ce prix, ajoute-t-il, qu'une nouvelle impulsion sera donnée à la marche que mène la CEDEAO depuis bientôt 40 ans pour satisfaire les attentes des générations actuelles et futures.
La session extraordinaire de CEDEAO se penche sur les Accords de partenariat économique (APE) entre l'Afrique et l'Union européenne (UE) et la question de la zone monétaire commune.
Les chefs d'Etat discuteront aussi de la question du Tarif extérieur commun (TEC).
La CEDEAO a été créée en 1975. Elle regroupe les 15 pays de l'Afrique de l'Ouest. Elle vise notamment à promouvoir l'intégration économique dans les domaines de l'industrie, des transports, des télécommunications, de l'énergie, de l'agriculture, des ressources naturelles, du commerce, des questions monétaires et financières et des questions sociales et culturelles.
« Votre participation massive à ce rendez-vous de Dakar est un signal fort de notre détermination à relever ensemble les défis devant nous, pour faire de notre sous-région un cadre propice d'intégration pour le mieux-être de nos peuples », a affirmé le Chef de l'Etat sénégalais, dans son discours de bienvenue.
Selon lui, la promesse consignée par les pères fondateurs de la CEDEAO engage les actuels chefs d'Etat à poursuivre leurs efforts afin de « maintenir la paix et la sécurité dans l'espace communautaire, libéraliser les échanges, mobiliser les ressources nécessaires au financement de nos projets et parachever la construction du marché commun de la CEDEAO ».
De l'avis toujours du Président sénégalais, les Chefs d'Etat de la CEDEAO balisent la voie pour atteindre leurs fins communes en décidant de consacrer un sommet spécial aux questions essentielles du Tarif extérieur commun (TEC), du prélèvement communautaire, de la libre circulation des personnes et des biens et des Accords de partenariat économique (APE).
« La réussite de l'exercice exige certainement que Etat membre s'acquitte de la part de responsabilité et de solidarité qui lui revient dans notre quête fécondante de solutions consensuelles », note le président Sall.
C'est à ce prix, ajoute-t-il, qu'une nouvelle impulsion sera donnée à la marche que mène la CEDEAO depuis bientôt 40 ans pour satisfaire les attentes des générations actuelles et futures.
La session extraordinaire de CEDEAO se penche sur les Accords de partenariat économique (APE) entre l'Afrique et l'Union européenne (UE) et la question de la zone monétaire commune.
Les chefs d'Etat discuteront aussi de la question du Tarif extérieur commun (TEC).
La CEDEAO a été créée en 1975. Elle regroupe les 15 pays de l'Afrique de l'Ouest. Elle vise notamment à promouvoir l'intégration économique dans les domaines de l'industrie, des transports, des télécommunications, de l'énergie, de l'agriculture, des ressources naturelles, du commerce, des questions monétaires et financières et des questions sociales et culturelles.
