Abidjan (Côte d’Ivoire) - La Cour pénale internationale (Cpi) a refusé mardi la liberté provisoire à l’ancien Chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo, en estimant au terme de sa septième audience qu’il a ‘’plusieurs comptes secrets en banque’’ et un ‘’réseau dense de partisans’’, capables de favoriser sa fuite en cas de liberté provisoire.
Selon la Cour, M. Gbagbo a toujours la possibilité de fuir s'il est libéré, car, explique-t-elle l'ancien Chef de l'Etat ivoirien dispose également d'un ‘' réseau dense de partisans''.
L'absence d'éléments nouveaux sur l'incapacité de Laurent Gbagbo à tenir un procès a également milité en faveur de cette décision de la Cour.
Toutes les demandes d'appel de Laurent Gbagbo et de ses avocats ont été rejetées par la majorité des juges. Ces demandes avaient été formulées le 11 juillet dernier.
Le Front populaire ivoirien (Fpi), son parti a reporté sa conférence de presse initialement prévue mardi après-midi. Il entend réagir mercredi sur ce nouveau refus d'accorder la liberté provisoire à son fondateur, Laurent Gbagbo.
M. Gbagbo, soupçonné de crimes contre l'humanité commis lors de la violente crise post électorale de décembre 2010 à avril 2011 avec plus 3000 morts, restera encore en détention à la Haye où il se trouve depuis novembre 2011.
Selon la Cour, M. Gbagbo a toujours la possibilité de fuir s'il est libéré, car, explique-t-elle l'ancien Chef de l'Etat ivoirien dispose également d'un ‘' réseau dense de partisans''.
L'absence d'éléments nouveaux sur l'incapacité de Laurent Gbagbo à tenir un procès a également milité en faveur de cette décision de la Cour.
Toutes les demandes d'appel de Laurent Gbagbo et de ses avocats ont été rejetées par la majorité des juges. Ces demandes avaient été formulées le 11 juillet dernier.
Le Front populaire ivoirien (Fpi), son parti a reporté sa conférence de presse initialement prévue mardi après-midi. Il entend réagir mercredi sur ce nouveau refus d'accorder la liberté provisoire à son fondateur, Laurent Gbagbo.
M. Gbagbo, soupçonné de crimes contre l'humanité commis lors de la violente crise post électorale de décembre 2010 à avril 2011 avec plus 3000 morts, restera encore en détention à la Haye où il se trouve depuis novembre 2011.