Adjara Diakité est au contact de ses militantes après sa nomination dans les instances de l’Offpi. Désignée secrétaire nationale de l’Offpi en charge des 4 fédérations de Bouaké, elle a bravé la peur pour tenir sa première réunion dans la ville de Bouaké. L’objectif, sonner le réveil des militantes du Front populaire ivoirien.
Adjara Diakité a entretenu les militantes et les responsables des 4 fédérations Offpi de Bouaké. La rencontre s’est déroulée à Bouaké, le 24 octobre dernier, au Jeune-Viateur. En plus des responsables des fédérations Offpi, les fédérations Fpi étaient également présentes. Il s’agit des fédérations de Koko-Bamoro, Ahougnansou, Belleville-N’Dènou et de Gbêkêkro. La première rencontre a connu un succès. Les femmes étaient visiblement enthousiastes. Elles ont dit leur joie de voir se tenir cette première rencontre après la crise. Elles ont, par ailleurs, félicité Adjara Diakité pour le choix porté sur sa personne par Marie Odette Lorougnon, secrétaire nationale de l’Offpi. Les militantes de Bouaké lui ont donné l’assurance de la soutenir pour relever le défi de la redynamisation du parti à Bouaké.
Faisant allusion à la crise postélectorale et aux épreuves vécues, Adjara Diakité a exprimé toute la compassion et le réconfort moral. Mais elle leur a fait comprendre que le combat du Fpi et la lutte pour la démocratie ne doivent pas être interrompus. Elle a donc exhorté ses camarades à plus de détermination pour la reconquête du pouvoir. Cela, précise-t-elle, passe nécessairement par un diagnostic et une restructuration de l’Offpi.
Quelle est la vie des comités de base Offpi, des sections et des 4 fédérations Offpi ? Répondant à cette préoccupation, les responsables des fédérations Offpi ont exposé sur l’état des structures de leur parti. La secrétaire nationale a invité à la cohésion des militantes pour éviter les querelles qui paralysent les structures.
Après Jeune Viateur, Adjara Diakité a rendu une visite à la section Offpi du quartier Koko. Elle s’est imprégnée de la vie de cette structure qui a démarré ses activités.
Au cours des deux rencontres, elle a abordé l’actualité sociopolitique. La situation du président Laurent Gbagbo était au cœur des préoccupations. Elle a, en outre, expliqué le rôle de la femme dans la politique. Et a insisté de façon particulière sur la place de la femme dans le combat du Fpi.
Au nom des hommes qui étaient aux côtés des femmes, le secrétaire général de la fédération de Koko-Bamoro, N’Da Kouakou, a salué cette initiative de l’Offpi à Bouaké. Soulignant que du fait de la crise postélectorale, certains responsables des structures sont gagnés par la peur. Ce qui est, à l’en croire, à l’origine du choix des intérimaires pour relancer les activités.
Benjamin Koré
Adjara Diakité a entretenu les militantes et les responsables des 4 fédérations Offpi de Bouaké. La rencontre s’est déroulée à Bouaké, le 24 octobre dernier, au Jeune-Viateur. En plus des responsables des fédérations Offpi, les fédérations Fpi étaient également présentes. Il s’agit des fédérations de Koko-Bamoro, Ahougnansou, Belleville-N’Dènou et de Gbêkêkro. La première rencontre a connu un succès. Les femmes étaient visiblement enthousiastes. Elles ont dit leur joie de voir se tenir cette première rencontre après la crise. Elles ont, par ailleurs, félicité Adjara Diakité pour le choix porté sur sa personne par Marie Odette Lorougnon, secrétaire nationale de l’Offpi. Les militantes de Bouaké lui ont donné l’assurance de la soutenir pour relever le défi de la redynamisation du parti à Bouaké.
Faisant allusion à la crise postélectorale et aux épreuves vécues, Adjara Diakité a exprimé toute la compassion et le réconfort moral. Mais elle leur a fait comprendre que le combat du Fpi et la lutte pour la démocratie ne doivent pas être interrompus. Elle a donc exhorté ses camarades à plus de détermination pour la reconquête du pouvoir. Cela, précise-t-elle, passe nécessairement par un diagnostic et une restructuration de l’Offpi.
Quelle est la vie des comités de base Offpi, des sections et des 4 fédérations Offpi ? Répondant à cette préoccupation, les responsables des fédérations Offpi ont exposé sur l’état des structures de leur parti. La secrétaire nationale a invité à la cohésion des militantes pour éviter les querelles qui paralysent les structures.
Après Jeune Viateur, Adjara Diakité a rendu une visite à la section Offpi du quartier Koko. Elle s’est imprégnée de la vie de cette structure qui a démarré ses activités.
Au cours des deux rencontres, elle a abordé l’actualité sociopolitique. La situation du président Laurent Gbagbo était au cœur des préoccupations. Elle a, en outre, expliqué le rôle de la femme dans la politique. Et a insisté de façon particulière sur la place de la femme dans le combat du Fpi.
Au nom des hommes qui étaient aux côtés des femmes, le secrétaire général de la fédération de Koko-Bamoro, N’Da Kouakou, a salué cette initiative de l’Offpi à Bouaké. Soulignant que du fait de la crise postélectorale, certains responsables des structures sont gagnés par la peur. Ce qui est, à l’en croire, à l’origine du choix des intérimaires pour relancer les activités.
Benjamin Koré
