La Banque africaine de développement (BAD) organise, en collaboration avec le Groupe de la Banque mondiale, la toute première "Journée de l'Afrique", au cours de l’édition 2013 de la Semaine "Droit, justice et développement (en anglais Law, Justice and Development, LJD)" prévue le 20 novembre, au siège de la Banque mondiale à Washington, DC.
« Se tenant tous les ans, la Semaine LJD se présente comme un forum permettant aux praticiens du droit et du développement, aux universitaires, aux gouvernements et à la société civile de débattre du rôle essentiel revenant aux systèmes juridiques et judiciaires dans la promotion des résultats de développement », apprend-on d’un communiqué de l’Organisation de la presse africaine (APO) publié vendredi.
La "Journée de l'Afrique" vise à consolider le savoir sur les grandes questions juridiques en train de voir le jour sur le continent. Les participants examineront de quelle manière le droit et la justice peuvent aider à traduire en actes le droit à l’expression, le contrat social et l’obligation de rendre compte dans les impacts du développement en Afrique.
Le président de la BAD, Donald Kaberuka, a été invité à prendre la parole à l'ouverture de la "Journée de l'Afrique" de cette année, et donner le ton à un travail en profondeur sur les questions juridiques essentielles pour le processus du développement de l'Afrique.
La Journée sera consacrée à l’examen de trois thèmes principaux, d’un, les opportunités économiques des industries extractives (principalement dans les secteurs du pétrole et du gaz); la coopération constructive avec les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) et la coopération Sud-Sud.
De deux, les nouvelles initiatives émergentes, notamment le Fonds Africa50, qui cherche à libérer des sources privées de financement privé et à accélérer la vitesse de livraison des infrastructures en Afrique, créant ainsi une nouvelle plateforme pour la croissance et la prospérité de l'Afrique.
Et de trois, les questions émergentes liées aux flux financiers illicites et l’évolution que l’on a pu observer récemment dans la constitution d’un certain nombre de pays.
« Se tenant tous les ans, la Semaine LJD se présente comme un forum permettant aux praticiens du droit et du développement, aux universitaires, aux gouvernements et à la société civile de débattre du rôle essentiel revenant aux systèmes juridiques et judiciaires dans la promotion des résultats de développement », apprend-on d’un communiqué de l’Organisation de la presse africaine (APO) publié vendredi.
La "Journée de l'Afrique" vise à consolider le savoir sur les grandes questions juridiques en train de voir le jour sur le continent. Les participants examineront de quelle manière le droit et la justice peuvent aider à traduire en actes le droit à l’expression, le contrat social et l’obligation de rendre compte dans les impacts du développement en Afrique.
Le président de la BAD, Donald Kaberuka, a été invité à prendre la parole à l'ouverture de la "Journée de l'Afrique" de cette année, et donner le ton à un travail en profondeur sur les questions juridiques essentielles pour le processus du développement de l'Afrique.
La Journée sera consacrée à l’examen de trois thèmes principaux, d’un, les opportunités économiques des industries extractives (principalement dans les secteurs du pétrole et du gaz); la coopération constructive avec les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) et la coopération Sud-Sud.
De deux, les nouvelles initiatives émergentes, notamment le Fonds Africa50, qui cherche à libérer des sources privées de financement privé et à accélérer la vitesse de livraison des infrastructures en Afrique, créant ainsi une nouvelle plateforme pour la croissance et la prospérité de l'Afrique.
Et de trois, les questions émergentes liées aux flux financiers illicites et l’évolution que l’on a pu observer récemment dans la constitution d’un certain nombre de pays.