Bouaké - Les membres de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CVDR) locale et des leaders communautaires de Bouaké viennent d’achever une formation visant à adopter de "nouvelles stratégies d’approche" pour l’atteinte de leurs objectifs.
«On souhaite qu’au sortir de cet atelier, ils (les participants) aient de nouvelles stratégies d’approche sur la base de la connaissance qu’ils ont des difficultés sur le terrain», a confié à l’AIP, Alliou Traoré, responsable communautaire au sein de l’ONG Search for common ground (SFCG), structure initiatrice de cet atelier qui s’est tenu mercredi au foyer Jeune Viateur de Bouaké.
Durant ces travaux, les participants, au nombre de 25, ont échangé sur l’ensemble de leurs activités et relevé les difficultés d’ordre technique rencontrées, afin de s’accorder sur des alternatives visant à « réajuster » leurs stratégies pour plus d’efficacité dans l’accomplissement de leur mission.
Cette formation entre dans le cadre du projet « J’aime mon pays » de SFCG, destiné à aider à la réduction des tensions entre les communautés et à renforcer la cohésion sociale en Côte d’Ivoire, pays qui se remet progressivement d’une décennie de crise militaro-politique.
Ce programme prévoit le renforcement des capacités des membres de dix commissions locales de la CDVR dans des localités fortement affectées par les violences postélectorales (2010-2011), notamment à Yopougon, Abobo, San Pedro, Bouaké, Duékoué et Gagnoa.
Nbf/kkp/tm
«On souhaite qu’au sortir de cet atelier, ils (les participants) aient de nouvelles stratégies d’approche sur la base de la connaissance qu’ils ont des difficultés sur le terrain», a confié à l’AIP, Alliou Traoré, responsable communautaire au sein de l’ONG Search for common ground (SFCG), structure initiatrice de cet atelier qui s’est tenu mercredi au foyer Jeune Viateur de Bouaké.
Durant ces travaux, les participants, au nombre de 25, ont échangé sur l’ensemble de leurs activités et relevé les difficultés d’ordre technique rencontrées, afin de s’accorder sur des alternatives visant à « réajuster » leurs stratégies pour plus d’efficacité dans l’accomplissement de leur mission.
Cette formation entre dans le cadre du projet « J’aime mon pays » de SFCG, destiné à aider à la réduction des tensions entre les communautés et à renforcer la cohésion sociale en Côte d’Ivoire, pays qui se remet progressivement d’une décennie de crise militaro-politique.
Ce programme prévoit le renforcement des capacités des membres de dix commissions locales de la CDVR dans des localités fortement affectées par les violences postélectorales (2010-2011), notamment à Yopougon, Abobo, San Pedro, Bouaké, Duékoué et Gagnoa.
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