Abidjan - Les médias africains, selon un expert burkinabé, Pr. Serge Théophile Balima, peuvent contribuer "fortement" à l’enracinement de la démocratie en Afrique, se fondant sur le rôle qu’ils jouent en tant qu’interface, par l’information, entre les pouvoirs publics et les populations.
"Les professionnels de la communication doivent non seulement apporter l’information(…), expliquer la réalité, faire comprendre les faits et sortir le citoyen de l’ignorance qui entrave des discussions pouvant compromettre la paix sociale", a expliqué M. Balima, dans une communication introductive à la 9ème édition des Universités Africaines de la communication d’Ouagadougou (UACO) sur le thème "Communication, paix et démocratie en Afrique".
Un autre expert, l’Enseignant-Chercheur en sciences et techniques de l’information et de la communication, Dr Seydou Dramé a indiqué que "les journalistes ne sont pas responsables des conflits mais ne font que rendre compte des faits".
"Le journaliste est là pour constater les faits, ce sont les yeux et les oreilles de la population. Et cela dépend également du contexte. Si l’environnement est pacifique, les journalistes vont contribuer à pacifier l’information et vice-versa" a-t-il précisé.
Il a invité les journalistes à assurer leur responsabilité qui consiste "à dire des vérités vraies, des vérités positives et non pas des vérités négatives" qui peuvent entraver la paix sociale.
Les UACO, initiées en 2004 comme une manifestation annuelle avant de devenir une biennale en 2011, se veulent un cadre d’échanges et de partage d’expériences entre chercheurs, experts, professionnels des médias et étudiants.
Plus de 500 participants du secteur des médias, de la communication, de la recherche, des Universitaires, et des Instituts de formation de pays d’Afrique, d’Europe et d’ailleurs prennent à cette rencontre biennale.
Ask/kam
"Les professionnels de la communication doivent non seulement apporter l’information(…), expliquer la réalité, faire comprendre les faits et sortir le citoyen de l’ignorance qui entrave des discussions pouvant compromettre la paix sociale", a expliqué M. Balima, dans une communication introductive à la 9ème édition des Universités Africaines de la communication d’Ouagadougou (UACO) sur le thème "Communication, paix et démocratie en Afrique".
Un autre expert, l’Enseignant-Chercheur en sciences et techniques de l’information et de la communication, Dr Seydou Dramé a indiqué que "les journalistes ne sont pas responsables des conflits mais ne font que rendre compte des faits".
"Le journaliste est là pour constater les faits, ce sont les yeux et les oreilles de la population. Et cela dépend également du contexte. Si l’environnement est pacifique, les journalistes vont contribuer à pacifier l’information et vice-versa" a-t-il précisé.
Il a invité les journalistes à assurer leur responsabilité qui consiste "à dire des vérités vraies, des vérités positives et non pas des vérités négatives" qui peuvent entraver la paix sociale.
Les UACO, initiées en 2004 comme une manifestation annuelle avant de devenir une biennale en 2011, se veulent un cadre d’échanges et de partage d’expériences entre chercheurs, experts, professionnels des médias et étudiants.
Plus de 500 participants du secteur des médias, de la communication, de la recherche, des Universitaires, et des Instituts de formation de pays d’Afrique, d’Europe et d’ailleurs prennent à cette rencontre biennale.
Ask/kam