Abidjan, La chefferie traditionnelle du département de Facobly (région du Guémon), par la voix de son premier responsable, Badia Kéi Séa II, chef du canton de Peomé, a procédé, jeudi à Abidjan, au lancement de la 2ème édition du Festival cantonal des arts et cultures de Facobly (FAC 2013), prévu du 20 au 21 décembre à Tieny-Siably.
Lors d’une conférence de presse marquant le lancement du FAC 2013, M. Badia a fait savoir que cette cérémonie de réjouissances, placée sous le patronage d’un cadre de la région, Simon Doh, veut contribuer à la réhabilitation et la promotion de la culture Wê dans toutes ses dimensions.
Ce, pour une contribution positive au ‘Vivre ensemble’ prôné par le Président de la République, Alassane Ouattara, d’où le thème « La réconciliation des peuples par la culture ».
Aussi, pour joindre l’acte à la parole, les initiateurs du FAC 2013 ont-ils décidé d’organiser cette activité en collaboration avec les ressortissants de la CEDEAO vivant dans les régions du Guémon et du Tonkpi, surtout la communauté Burkinabé qui est la plus représentative en termes de nombre.
D’ailleurs, pour marquer son adhésion à ce Festival, le président du Conseil national des Burkinabés de Côte d’Ivoire (CNB-CI), Salogo Mamadou, également vice-président de la section ivoirienne de l’Union des ressortissants des Etats membres de la CEDEAO (UREM-CEDEAO-CI), a fait le déplacement avec une délégation, au lancement du FAC 2013.
Au programme du Festival cantonal des arts et cultures de Facobly, entre autres, une veillée et des prestations de danses traditionnelles (cors, masques, hommes panthères, Tématè de Séambly et Tiedrou-Koléa, Konhou de Zé, Wailé des Dans, danses CEDEAO…), un défilé des participants, des compétitions de lutte traditionnelle, de course de masque et de la danse Kono.
Pour finir, le chef Badia Kéi Séa II a lancé un appel à tous les ressortissants et élus de la région du Guémon à se joindre à la chefferie cantonale de Facobly pour communier avec leurs frères et sœurs allochtones et allogènes.
Il a en outre souhaité que les représentations diplomatiques, institutions (CDVR, PNCS), la représentante de l’ONU et les différents ministères (Culture, Solidarité, Intégration africaine, Promotion de la jeunesse et du sport) déjà sollicités, mais sans suite pour l’instant, y apportent leur appui.
(AIP)
cmas
Lors d’une conférence de presse marquant le lancement du FAC 2013, M. Badia a fait savoir que cette cérémonie de réjouissances, placée sous le patronage d’un cadre de la région, Simon Doh, veut contribuer à la réhabilitation et la promotion de la culture Wê dans toutes ses dimensions.
Ce, pour une contribution positive au ‘Vivre ensemble’ prôné par le Président de la République, Alassane Ouattara, d’où le thème « La réconciliation des peuples par la culture ».
Aussi, pour joindre l’acte à la parole, les initiateurs du FAC 2013 ont-ils décidé d’organiser cette activité en collaboration avec les ressortissants de la CEDEAO vivant dans les régions du Guémon et du Tonkpi, surtout la communauté Burkinabé qui est la plus représentative en termes de nombre.
D’ailleurs, pour marquer son adhésion à ce Festival, le président du Conseil national des Burkinabés de Côte d’Ivoire (CNB-CI), Salogo Mamadou, également vice-président de la section ivoirienne de l’Union des ressortissants des Etats membres de la CEDEAO (UREM-CEDEAO-CI), a fait le déplacement avec une délégation, au lancement du FAC 2013.
Au programme du Festival cantonal des arts et cultures de Facobly, entre autres, une veillée et des prestations de danses traditionnelles (cors, masques, hommes panthères, Tématè de Séambly et Tiedrou-Koléa, Konhou de Zé, Wailé des Dans, danses CEDEAO…), un défilé des participants, des compétitions de lutte traditionnelle, de course de masque et de la danse Kono.
Pour finir, le chef Badia Kéi Séa II a lancé un appel à tous les ressortissants et élus de la région du Guémon à se joindre à la chefferie cantonale de Facobly pour communier avec leurs frères et sœurs allochtones et allogènes.
Il a en outre souhaité que les représentations diplomatiques, institutions (CDVR, PNCS), la représentante de l’ONU et les différents ministères (Culture, Solidarité, Intégration africaine, Promotion de la jeunesse et du sport) déjà sollicités, mais sans suite pour l’instant, y apportent leur appui.
(AIP)
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