La police de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) a initié des séances de formation sur la prévention et la lutte contre le terrorisme, a-t- on appris lundi auprès de la mission onusienne.
Selon un responsable de la formation le colonel Gharbi Ilyes, ces séances visent à dispenser des connaissances sur le phénomène du terrorisme en général, son mode opérateur et ses structures.
"Ces assises permettent également de faire la lumière sur les différents groupes terroristes qui sévissent actuellement au nord du Mali, sur les groupe susceptibles de perpétrer des attentats dans la région et la sous-région, dans la perspective de montrer aux bénéficiaires de la formation comment enrayer leurs actions sur le terrain", a expliqué le colonel Ilyes.
"Cette formation vient à propos puisque le terrorisme sévit dans tous les pays, y compris les pays africains", a noté pour sa part le commandant de la quatrième légion de gendarmerie, de Côte d'Ivoire le lieutenant-colonel Sam Akaki Konan.
La formation qui a débuté par la base de gendarmerie de Korhogo (nord) devrait s'étendre aux bases des autres régions telles que Daloa (centre-ouest) et San Pedro (sud-ouest).
Les séances s'articulent autour de neuf modules dont notamment "le profil du terroriste"; "les structures et modes opératoires des groupes terroristes"; "le terrorisme religieux : Alqaida"; " les menaces terroristes en Afrique : AQMI"; "les groupes terroristes en Afrique : cas du Mali et de Boko Haram"; "les renseignements en matière de lutte anti-terroriste : cas de la Côte d'Ivoire".
Les officiers et sous-officiers de la gendarmerie ivoirienne formés devraient relayer les connaissances acquises dans leurs unités respectives, exploiter et appliquer ces connaissances sur le terrain en vue d'une lutte efficace contre le terrorisme.
A plusieurs occasions, les autorités sécuritaires ivoiriennes ont exprimé leur engagement à "aller plus loin" dans la lutte contre le terrorisme.
Lors de la visite de son homologue français Manuel Valls en Côte d'Ivoire, le ministre ivoirien de l'Intérieur Hamed Bakayoko avait souligné la nécessité de mener "des actions d'envergure" pour faire face à la menace terroriste.
Selon un responsable de la formation le colonel Gharbi Ilyes, ces séances visent à dispenser des connaissances sur le phénomène du terrorisme en général, son mode opérateur et ses structures.
"Ces assises permettent également de faire la lumière sur les différents groupes terroristes qui sévissent actuellement au nord du Mali, sur les groupe susceptibles de perpétrer des attentats dans la région et la sous-région, dans la perspective de montrer aux bénéficiaires de la formation comment enrayer leurs actions sur le terrain", a expliqué le colonel Ilyes.
"Cette formation vient à propos puisque le terrorisme sévit dans tous les pays, y compris les pays africains", a noté pour sa part le commandant de la quatrième légion de gendarmerie, de Côte d'Ivoire le lieutenant-colonel Sam Akaki Konan.
La formation qui a débuté par la base de gendarmerie de Korhogo (nord) devrait s'étendre aux bases des autres régions telles que Daloa (centre-ouest) et San Pedro (sud-ouest).
Les séances s'articulent autour de neuf modules dont notamment "le profil du terroriste"; "les structures et modes opératoires des groupes terroristes"; "le terrorisme religieux : Alqaida"; " les menaces terroristes en Afrique : AQMI"; "les groupes terroristes en Afrique : cas du Mali et de Boko Haram"; "les renseignements en matière de lutte anti-terroriste : cas de la Côte d'Ivoire".
Les officiers et sous-officiers de la gendarmerie ivoirienne formés devraient relayer les connaissances acquises dans leurs unités respectives, exploiter et appliquer ces connaissances sur le terrain en vue d'une lutte efficace contre le terrorisme.
A plusieurs occasions, les autorités sécuritaires ivoiriennes ont exprimé leur engagement à "aller plus loin" dans la lutte contre le terrorisme.
Lors de la visite de son homologue français Manuel Valls en Côte d'Ivoire, le ministre ivoirien de l'Intérieur Hamed Bakayoko avait souligné la nécessité de mener "des actions d'envergure" pour faire face à la menace terroriste.