Abidjan– Le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Coulibaly Sangafowa a affirmé, lundi, qu’il est désormais possible d’éviter les crises aigües liées à la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la région Afrique de l’ouest et du Sahel tel que connu dans les années 70 et 80.
« Notre région dispose d’une architecture complète, politique et technique, à même de mettre en œuvre son ambitieux agenda de sécurité alimentaire et nutritionnelle », a expliqué le ministre Sangafowa, à l’ouverture de la vingt-neuvième réunion annuelle du réseau de prévention des crises alimentaires au Sahel et en Afrique de l’Ouest (RPCA).
Selon le ministre, la région met en œuvre d’importants mécanismes qui contribuent au renforcement de la gouvernance régionale et nationale en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Il s’agit notamment entre autres, a-t-il cité, de la charte de prévention et de gestion des crises alimentaires, la réserve régionale de sécurité alimentaire, de l’initiative « Faim zéro » en Afrique de l’ouest, de l’initiative de l’Uemoa de renforcement des stocks nationaux de sécurité alimentaire.
« En dépit de ces importants acquis, le combat contre la faim et la malnutrition n’est pas définitivement gagné », a-t-il relevé indiquant que de nombreuses personnes souffrent toujours de la faim et de la malnutrition.
Selon la FAO, 70% des personnes souffrant de la faim sont répertoriées en Afrique.
La malnutrition au Sahel et en Afrique de l’Ouest reste une question préoccupante en raison du taux de malnutrition chronique supérieurs à 40% dans certaines zones et des taux de malnutrition aiguë global qui dépasse annuellement le seuil du taux de 15% dans certaines régions, d’après le ministère ivoirien de l’agriculture.
Pour Mamadou Coulibaly Sangafowa, la semaine du Sahel et de l’Afrique de l’ouest, la 29èréunion du RPCA offre « l’opportunité de traités de ces sujets d’importance capitale » pour la région.
Ouverte, lundi, la semaine du sahel prend fin vendredi.
(AIP)
kkf/kam
« Notre région dispose d’une architecture complète, politique et technique, à même de mettre en œuvre son ambitieux agenda de sécurité alimentaire et nutritionnelle », a expliqué le ministre Sangafowa, à l’ouverture de la vingt-neuvième réunion annuelle du réseau de prévention des crises alimentaires au Sahel et en Afrique de l’Ouest (RPCA).
Selon le ministre, la région met en œuvre d’importants mécanismes qui contribuent au renforcement de la gouvernance régionale et nationale en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Il s’agit notamment entre autres, a-t-il cité, de la charte de prévention et de gestion des crises alimentaires, la réserve régionale de sécurité alimentaire, de l’initiative « Faim zéro » en Afrique de l’ouest, de l’initiative de l’Uemoa de renforcement des stocks nationaux de sécurité alimentaire.
« En dépit de ces importants acquis, le combat contre la faim et la malnutrition n’est pas définitivement gagné », a-t-il relevé indiquant que de nombreuses personnes souffrent toujours de la faim et de la malnutrition.
Selon la FAO, 70% des personnes souffrant de la faim sont répertoriées en Afrique.
La malnutrition au Sahel et en Afrique de l’Ouest reste une question préoccupante en raison du taux de malnutrition chronique supérieurs à 40% dans certaines zones et des taux de malnutrition aiguë global qui dépasse annuellement le seuil du taux de 15% dans certaines régions, d’après le ministère ivoirien de l’agriculture.
Pour Mamadou Coulibaly Sangafowa, la semaine du Sahel et de l’Afrique de l’ouest, la 29èréunion du RPCA offre « l’opportunité de traités de ces sujets d’importance capitale » pour la région.
Ouverte, lundi, la semaine du sahel prend fin vendredi.
(AIP)
kkf/kam