Abidjan- Le ministre de l'Agriculture, Mamadou Coulibaly Sangafowa, a affirmé que le budget de la Côte d'Ivoire pour le secteur agricole est en croissance, même si l'atteinte du niveau de 10% ne sera envisagée qu'en 2015.
"La croissance de la contribution des ressources publiques pour le secteur est notable dans notre pays", a-t-il indiqué lors de l'ouverture de la 29ème réunion annuelle du Réseau de prévention des crises alimentaires au Sahel et en Afrique de l'ouest (RPCA).
Pour le secteur privé et la société civile, les pays africains évoquent le prétexte de la multiplicité des priorités pour ne pas consacrer plus de 4% de leur budget à l'agriculture.
"Nous voulons que les budgets nationaux puissent être orientés vers l'agriculture comme nos pères de l'indépendance l'ont fait, pour que la faim disparaisse de ce continent", avait plaidé auparavant le représentant du secteur privé et de la société civile, Mamadou Cissoko.
Le ministre Mamadou Coulibaly Sangafowa a rappelé que le Programme national d'investissement agricole (PNIA) en Côte d'Ivoire vise à réduire la pauvreté et la faim, par le biais d'une meilleure croissance agricole.
La mise en œuvre du PNIA, a-t-il expliqué, permettra aux producteurs d'avoir un meilleur accès aux infrastructures, aux équipements agricoles et à la terre.
Il a aussi ajouté que ce programme permettra aux producteurs d'avoir accès aux intrants et aux innovations technologiques, au fonds d'accès au financement et à la formation et à un environnement commercial favorable.
"Les efforts conjugués de l'ensemble des partenaires dont l'Etat, le secteur privé, la société civile et les partenaires au développement doivent conduire à la mise en œuvre d'actions d'envergure pour réduire les causes structurelles de la vulnérabilité des populations", a par ailleurs suggéré le ministre de l'Agriculture.
La 29ème réunion annuelle du Réseau de prévention des crises alimentaires, qui se tient à la faveur de la deuxième semaine du Sahel, s'achève mercredi à Abidjan.
(Aip)
kkf/kkp/kp
"La croissance de la contribution des ressources publiques pour le secteur est notable dans notre pays", a-t-il indiqué lors de l'ouverture de la 29ème réunion annuelle du Réseau de prévention des crises alimentaires au Sahel et en Afrique de l'ouest (RPCA).
Pour le secteur privé et la société civile, les pays africains évoquent le prétexte de la multiplicité des priorités pour ne pas consacrer plus de 4% de leur budget à l'agriculture.
"Nous voulons que les budgets nationaux puissent être orientés vers l'agriculture comme nos pères de l'indépendance l'ont fait, pour que la faim disparaisse de ce continent", avait plaidé auparavant le représentant du secteur privé et de la société civile, Mamadou Cissoko.
Le ministre Mamadou Coulibaly Sangafowa a rappelé que le Programme national d'investissement agricole (PNIA) en Côte d'Ivoire vise à réduire la pauvreté et la faim, par le biais d'une meilleure croissance agricole.
La mise en œuvre du PNIA, a-t-il expliqué, permettra aux producteurs d'avoir un meilleur accès aux infrastructures, aux équipements agricoles et à la terre.
Il a aussi ajouté que ce programme permettra aux producteurs d'avoir accès aux intrants et aux innovations technologiques, au fonds d'accès au financement et à la formation et à un environnement commercial favorable.
"Les efforts conjugués de l'ensemble des partenaires dont l'Etat, le secteur privé, la société civile et les partenaires au développement doivent conduire à la mise en œuvre d'actions d'envergure pour réduire les causes structurelles de la vulnérabilité des populations", a par ailleurs suggéré le ministre de l'Agriculture.
La 29ème réunion annuelle du Réseau de prévention des crises alimentaires, qui se tient à la faveur de la deuxième semaine du Sahel, s'achève mercredi à Abidjan.
(Aip)
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