Le gouvernement ivoirien a promis d'assurer une reconversion "efficiente" des ex-combattants dans la vie civile.
Le directeur régional de l'Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants (ADDR) du Worodougou Ibrahim Bamba qui s'exprimait vendredi à Séguéla (nord- ouest), a affirmé que les ex-combattants se montrent aptes à gérer les projets élaborés pour leur réinsertion sociale.
"Nous exhortons les jeunes qui n'ont pas encore déposé les armes à le faire afin de bénéficier de projets", a-t-il souligné.
Le représentant du directeur général de l'ADDR, Karna Soro, a pour sa part rappelé que plusieurs projets sont en cours au profit des ex-belligérants démobilisés, dans divers domaines de la vie civile tels que l'artisanat, le commerce, le transport, la transformation des déchets plastiques en pavé et les travaux de génie civil.
Pour les responsables de la structure en charge de la réinsertion, "personne ne sera oublié dans le processus".
La Côte d'Ivoire sort de manière progressive d'une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3 000 morts et un million de déplacés.
Plusieurs jeunes Ivoiriens avaient pris les armes au plus fort du conflit pour combattre aux côtés des forces pro-Gbagbo et des forces pro-Ouattara.
Quelque 65.000 jeunes ex-soldats sont concernés par le programme de reconversion sociale.
Le gouvernement a besoin de 90 milliards de francs CFA pour assurer le retour à la vie civile de ces ex-combattants avec la promesse de réinsérer 35 000 cette année et les autres l'année prochaine.
Le directeur régional de l'Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants (ADDR) du Worodougou Ibrahim Bamba qui s'exprimait vendredi à Séguéla (nord- ouest), a affirmé que les ex-combattants se montrent aptes à gérer les projets élaborés pour leur réinsertion sociale.
"Nous exhortons les jeunes qui n'ont pas encore déposé les armes à le faire afin de bénéficier de projets", a-t-il souligné.
Le représentant du directeur général de l'ADDR, Karna Soro, a pour sa part rappelé que plusieurs projets sont en cours au profit des ex-belligérants démobilisés, dans divers domaines de la vie civile tels que l'artisanat, le commerce, le transport, la transformation des déchets plastiques en pavé et les travaux de génie civil.
Pour les responsables de la structure en charge de la réinsertion, "personne ne sera oublié dans le processus".
La Côte d'Ivoire sort de manière progressive d'une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3 000 morts et un million de déplacés.
Plusieurs jeunes Ivoiriens avaient pris les armes au plus fort du conflit pour combattre aux côtés des forces pro-Gbagbo et des forces pro-Ouattara.
Quelque 65.000 jeunes ex-soldats sont concernés par le programme de reconversion sociale.
Le gouvernement a besoin de 90 milliards de francs CFA pour assurer le retour à la vie civile de ces ex-combattants avec la promesse de réinsérer 35 000 cette année et les autres l'année prochaine.