Le préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro, N’Guessan Obouo Jacques, patron de la cérémonie de lancement de la campagne pour l’accélération de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique (CARMMA), lundi, au centre de protection maternelle et infantile (PMI) de Dimbokro, a appelé à une mobilisation contre la mortalité maternelle.
« Hier, la matrone nous a été utile. Mais puisque le monde évolue, il faut évoluer en fréquentant désormais, de façon assidue, les centres de santé au début, pendant et après la grossesse. (…) En plus de la question sanitaire, il s’agit de se mobiliser contre une situation, celle de la mortalité maternelle. C’est pourquoi la communauté internationale se mobilise contre cette situation ainsi que notre pays qui affirme sa volonté de mettre au centre de ses préoccupations la vie des populations, particulièrement celle concernant la mortalité maternelle », a dit le préfet.
Selon lui, il faut changer de comportement en espaçant les grossesses, relever les plateaux techniques des centres de santé et renforcer les capacités des prestataires des services de santé.
« Il faut une pratique à visage humain dans les centres de santé en sauvant les vies d’abord avant de vouloir réclamer de l’argent », a-t-il interpelé les personnels sanitaires. « Dès ce jour, Dimbokro prend l’engagement, par ma voix, de zéro décès lors des accouchements », a promis l'administrateur civil.
Aux élus et autorités sanitaires de sa circonscription administrative, le chef de l’administration publique dans le N’ZI a, par ailleurs, demandé de respecter les engagements pris au cours du lancement de cette campagne. « Que chacun joue sa partition sur la réduction de la mortalité maternelle », a-t-il conclu.
zgrp/cmas
« Hier, la matrone nous a été utile. Mais puisque le monde évolue, il faut évoluer en fréquentant désormais, de façon assidue, les centres de santé au début, pendant et après la grossesse. (…) En plus de la question sanitaire, il s’agit de se mobiliser contre une situation, celle de la mortalité maternelle. C’est pourquoi la communauté internationale se mobilise contre cette situation ainsi que notre pays qui affirme sa volonté de mettre au centre de ses préoccupations la vie des populations, particulièrement celle concernant la mortalité maternelle », a dit le préfet.
Selon lui, il faut changer de comportement en espaçant les grossesses, relever les plateaux techniques des centres de santé et renforcer les capacités des prestataires des services de santé.
« Il faut une pratique à visage humain dans les centres de santé en sauvant les vies d’abord avant de vouloir réclamer de l’argent », a-t-il interpelé les personnels sanitaires. « Dès ce jour, Dimbokro prend l’engagement, par ma voix, de zéro décès lors des accouchements », a promis l'administrateur civil.
Aux élus et autorités sanitaires de sa circonscription administrative, le chef de l’administration publique dans le N’ZI a, par ailleurs, demandé de respecter les engagements pris au cours du lancement de cette campagne. « Que chacun joue sa partition sur la réduction de la mortalité maternelle », a-t-il conclu.
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