La Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) démarre, mercredi à Abidjan, les festivités marquant le 50ème anniversaire de sa création, dans un contexte de concurrence liée à la libéralisation prochaine du paysage audiovisuel.
Créée en octobre 1962, la RTI qui a commencé à émettre le 07 août 1963, est un organisme public de diffusion radiophonique et audiovisuel. Elle est financée par la redevance sur les factures de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), la publicité et des subventions de l’État.
Avec ses deux chaines de radio, Radio Côte d’ivoire (chaine nationale généraliste) et Fréquence 2 (chaine de divertissement), et ses trois chaines de télévision, RTI 1 (institutionnelle), RTI 2 (culturelle) et RTI Bouaké (régionale), la RTI assurait, dès 1993, la couverture de 96% du territoire national jusqu’au déclenchement de la crise de septembre 2002 au cours de laquelle ses émissions n’étaient plus captées dans toute la moitié nord du pays.
Depuis ces dernières années, ce média de service public s’est engagé dans un vaste programme de réhabilitation et d’équipement des centres émetteurs pour la couverture radiotélévisée du territoire national.
Le renforcement des moyens de production et l’amélioration constante de la qualité des programmes et des émissions font également font également partie de ses priorités au moment où elle doit faire face à la libéralisation du paysage audiovisuel dont elle assure un monopole de fait avec le groupe Canal + horizon.
En attendant le passage au numérique, les différentes chaînes de la RTI sont présentes sur le bouquet Canalsat Horizons et sont disponibles sur internet et dans le monde par satellite et câble.
aaa/tm
Créée en octobre 1962, la RTI qui a commencé à émettre le 07 août 1963, est un organisme public de diffusion radiophonique et audiovisuel. Elle est financée par la redevance sur les factures de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), la publicité et des subventions de l’État.
Avec ses deux chaines de radio, Radio Côte d’ivoire (chaine nationale généraliste) et Fréquence 2 (chaine de divertissement), et ses trois chaines de télévision, RTI 1 (institutionnelle), RTI 2 (culturelle) et RTI Bouaké (régionale), la RTI assurait, dès 1993, la couverture de 96% du territoire national jusqu’au déclenchement de la crise de septembre 2002 au cours de laquelle ses émissions n’étaient plus captées dans toute la moitié nord du pays.
Depuis ces dernières années, ce média de service public s’est engagé dans un vaste programme de réhabilitation et d’équipement des centres émetteurs pour la couverture radiotélévisée du territoire national.
Le renforcement des moyens de production et l’amélioration constante de la qualité des programmes et des émissions font également font également partie de ses priorités au moment où elle doit faire face à la libéralisation du paysage audiovisuel dont elle assure un monopole de fait avec le groupe Canal + horizon.
En attendant le passage au numérique, les différentes chaînes de la RTI sont présentes sur le bouquet Canalsat Horizons et sont disponibles sur internet et dans le monde par satellite et câble.
aaa/tm