A Abidjan depuis le 1er décembre pour faire l’état des lieux des infrastructures (sportives, culturelles, hébergement, etc.) devant accueillir les prochains jeux, la mission d’experts du Comité International des Jeux de la Francophonie (Cijf) conduite par Mahaman-Lawan Seriba, directeur dudit Comité a rencontré la presse nationale pour faire le point de la (première) journée du lundi 2 décembre. Après une visite dans la Zone A [Marcory-Treichville] qui a pour sites le Stade Champroux – pour le football, l’Espace Canal aux Bois (consacré aux arts de la rue, jonglerie, Hip Hop, marionnette géante), le Palais des Sports et Parc des Sports (Basket-ball, Tennis de table), le Palais de la culture (chants, conte et danse de création), le CNAC Café théâtre – pour les répétitions, Mahaman-Lawan Seriba a dit voir «une adéquation entre ce qui a été proposé et ce qui se trouve sur le terrain». «Les conditions sont réunies, a-t-il rassuré, pour qu’on fasse des Jeux de grande qualité. Il y a un besoin de rénovation. Nous sommes satisfaits. L’enthousiasme de ce pays ne peut qu’aller de l’avant». Côté jardin, pour ce qu’ils ont pu découvrir, le chef de la délégation s’est réjoui après une projection vidéo, de «belles images, en haute définition qui reflètent les Jeux».
L’état des lieux des sites [découpés en trois zones] qu’il a qualifié de «mise en place de la première architecture des jeux» sera également évalué en janvier 2014 dans le but d’une amélioration du cahier des charges rédigé en août 2013 par le Comité national (Cnjf) puis soumis au conseil permanent des Jeux (28 mars).
Si, de l’avis de Mahaman-Lawan Seriba, «2017 n’est pas loin», il invite à travailler minutieusement et de façon permanente parce que c’est «un grand projet national et international qui nécessite beaucoup de préparation et mobilise des milliers de personnes».
Au chapitre des records, Epiphane Zoro, directeur du Comité national des Jeux de la Francophonie qui promet «offrir à la Francophonie les meilleurs jeux», a pris l’engagement d’invité à Abidjan tous les pays de l’espace francophone. Ce sont quatre mille (4000) compétiteurs qui seront reçus aux 8è Jeux.
Selon Epiphane Zoro , l’enjeu pour la Côte d’Ivoire est «éminemment important» car cet événement culturel et sportif «s’inscrit dans un processus de développement, de renforcement et de cohésion sociale, de modernisation des infrastructures culturelles et sportives», etc.
Les Jeux de la Francophonie, est-il convaincu, «vont participer à la renaissance économique, social de la Côte d’Ivoire». D’où l’accent particulier qui sera mis sur la dimension économique, écologique et numérique.
KS
L’état des lieux des sites [découpés en trois zones] qu’il a qualifié de «mise en place de la première architecture des jeux» sera également évalué en janvier 2014 dans le but d’une amélioration du cahier des charges rédigé en août 2013 par le Comité national (Cnjf) puis soumis au conseil permanent des Jeux (28 mars).
Si, de l’avis de Mahaman-Lawan Seriba, «2017 n’est pas loin», il invite à travailler minutieusement et de façon permanente parce que c’est «un grand projet national et international qui nécessite beaucoup de préparation et mobilise des milliers de personnes».
Au chapitre des records, Epiphane Zoro, directeur du Comité national des Jeux de la Francophonie qui promet «offrir à la Francophonie les meilleurs jeux», a pris l’engagement d’invité à Abidjan tous les pays de l’espace francophone. Ce sont quatre mille (4000) compétiteurs qui seront reçus aux 8è Jeux.
Selon Epiphane Zoro , l’enjeu pour la Côte d’Ivoire est «éminemment important» car cet événement culturel et sportif «s’inscrit dans un processus de développement, de renforcement et de cohésion sociale, de modernisation des infrastructures culturelles et sportives», etc.
Les Jeux de la Francophonie, est-il convaincu, «vont participer à la renaissance économique, social de la Côte d’Ivoire». D’où l’accent particulier qui sera mis sur la dimension économique, écologique et numérique.
KS