.jpg)
.jpg)
.jpg)
.jpg)
- Monsieur le Président du Conseil National de la Presse (CNP) ;
- Monsieur le Président du Conseil de Gestion du Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP);
- Mesdames et Messieurs les membres du conseil de Gestion du FSDP ;
- Madame la Directrice Exécutive du FSDP ;
- Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Directeur Centraux de l’Administration ;
- Messieurs les représentants des organisations professionnelles du secteur des médias ;
- Distingués membres du secteur de la Presse ;
- Mesdames et Messieurs ;
Je faillirai à mon devoir d’enfant d’Afrique ou d’humain tout simplement, si je ne vous demandais d’avoir une pensée pieuse pour le président Nelson Mandela décédé hier. Que son âme repose en paix.
Je vous demanderai également d’avoir une pensée particulière à l’occasion du 20ème anniversaire de la mort du père fondateur de notre Nation, le Président Félix Houphouet-Boigny.
En hommage au Président Mandela, je vous invite à vous lever pour observer une minute de silence.
Je me retrouve parmi vous aujourd’hui pour présider la cérémonie de remise de dons et de subventions aux entreprises de presse et aux associations professionnelles.
C’est avec un réel plaisir que je m’acquitte de cet agréable devoir. Aussi, voudrais-je remercier Monsieur KEBE Yacouba et Madame N’guessan Bernise, respectivement Président du Comité de Gestion et Directrice Exécutive du Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP), pour leur heureuse initiative.
Mesdames et Messieurs, la présente cérémonie qui nous rassemble ce jour est la preuve, une fois de plus, de l’intérêt que le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA et son gouvernement accordent à l’amélioration des conditions de travail et de vie des acteurs du secteur des medias.
Ma présence à vos côtés aujourd’hui tient également à plusieurs raisons, notamment dresser le bilan du FSDP depuis sa création en 2009 et évoquer avec vous certains problèmes et besoins exprimés par les éditeurs en particulier.
Concernant le bilan, je note qu’en cinq ans d’exercice, le FSDP a mobilisé 3 milliards 900 millions de FCFA dont 2 milliards 290 millions de FCFA de dons et subventions en appui à la formation, à la réalisation d’études notamment 4 études au titre de l’année 2013 et 1 milliard 700 millions de FCFA comme Fonds de garantie.
Ce Fonds de garantie, véritable épine dorsale de l’appui de l’Etat à la presse est à votre disposition ; appelé à jouer un rôle important dans l’avenir de vos entreprises de presse, ce fonds n’est malheureusement pas utilisé comme il se doit. Or, avec l’avènement d’un environnement médiatique de plus en plus concurrentiel, le fonds de garantie peut être un instrument salvateur pour les entreprises de presse qui y recourent.
Certes, au regard de tous ces appuis, l’on peut raisonnablement être satisfait, même si beaucoup reste encore à faire, tant les besoins sont immenses.
Pour ce qui est des problèmes exprimés par le Groupement des Editeurs de Presse (GEPCI), mon Cabinet et le FSDP réfléchissent à des propositions de solutions à soumettre au Gouvernement.
En effet, des réflexions très avancées sont en cours, relativement à la demande spéciale d’impression des journaux introduite par le GEPCI.
La mise en œuvre de ce soutien exceptionnel à l’impression aura sans nul doute des retombées positives, pour le secteur de la presse, en proie à des difficultés de tous ordres.
Mesdames et Messieurs les professionnels de la presse, en aidant vos entreprises, le Gouvernement vise à sortir celles-ci de la précarité afin que vous puissiez jouer votre rôle dans la consolidation de la démocratie, de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale. Il en va de même pour la promotion des droits de l’Homme.
Toutefois, je dois attirer votre attention qu’en raison de son impact budgétaire, l’octroi de ce genre d’aide nécessite une concertation entre les départements ministériels concernés. C’est pourquoi, votre demande requiert beaucoup d’attention.
Mesdames et Messieurs, je voudrais pour terminer, féliciter tous les récipiendaires qui recevront tout à l’heure leurs dons. D’avance, je leur demande d’utiliser ces dons à bon escient.
Je souhaite également que pour les prochaines années, en plus des bénéficiaires traditionnels, que le FSDP étende davantage ses prestations à un plus grand nombre d’associations professionnelles et de radios non commerciales appelées communément radios de proximité dont le rôle est éminemment important dans la diffusion de l’information.
Merci à toutes et à tous et à l’année prochaine.
Je vous remercie.
- Monsieur le Président du Conseil de Gestion du Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP);
- Mesdames et Messieurs les membres du conseil de Gestion du FSDP ;
- Madame la Directrice Exécutive du FSDP ;
- Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Directeur Centraux de l’Administration ;
- Messieurs les représentants des organisations professionnelles du secteur des médias ;
- Distingués membres du secteur de la Presse ;
- Mesdames et Messieurs ;
Je faillirai à mon devoir d’enfant d’Afrique ou d’humain tout simplement, si je ne vous demandais d’avoir une pensée pieuse pour le président Nelson Mandela décédé hier. Que son âme repose en paix.
Je vous demanderai également d’avoir une pensée particulière à l’occasion du 20ème anniversaire de la mort du père fondateur de notre Nation, le Président Félix Houphouet-Boigny.
En hommage au Président Mandela, je vous invite à vous lever pour observer une minute de silence.
Je me retrouve parmi vous aujourd’hui pour présider la cérémonie de remise de dons et de subventions aux entreprises de presse et aux associations professionnelles.
C’est avec un réel plaisir que je m’acquitte de cet agréable devoir. Aussi, voudrais-je remercier Monsieur KEBE Yacouba et Madame N’guessan Bernise, respectivement Président du Comité de Gestion et Directrice Exécutive du Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP), pour leur heureuse initiative.
Mesdames et Messieurs, la présente cérémonie qui nous rassemble ce jour est la preuve, une fois de plus, de l’intérêt que le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA et son gouvernement accordent à l’amélioration des conditions de travail et de vie des acteurs du secteur des medias.
Ma présence à vos côtés aujourd’hui tient également à plusieurs raisons, notamment dresser le bilan du FSDP depuis sa création en 2009 et évoquer avec vous certains problèmes et besoins exprimés par les éditeurs en particulier.
Concernant le bilan, je note qu’en cinq ans d’exercice, le FSDP a mobilisé 3 milliards 900 millions de FCFA dont 2 milliards 290 millions de FCFA de dons et subventions en appui à la formation, à la réalisation d’études notamment 4 études au titre de l’année 2013 et 1 milliard 700 millions de FCFA comme Fonds de garantie.
Ce Fonds de garantie, véritable épine dorsale de l’appui de l’Etat à la presse est à votre disposition ; appelé à jouer un rôle important dans l’avenir de vos entreprises de presse, ce fonds n’est malheureusement pas utilisé comme il se doit. Or, avec l’avènement d’un environnement médiatique de plus en plus concurrentiel, le fonds de garantie peut être un instrument salvateur pour les entreprises de presse qui y recourent.
Certes, au regard de tous ces appuis, l’on peut raisonnablement être satisfait, même si beaucoup reste encore à faire, tant les besoins sont immenses.
Pour ce qui est des problèmes exprimés par le Groupement des Editeurs de Presse (GEPCI), mon Cabinet et le FSDP réfléchissent à des propositions de solutions à soumettre au Gouvernement.
En effet, des réflexions très avancées sont en cours, relativement à la demande spéciale d’impression des journaux introduite par le GEPCI.
La mise en œuvre de ce soutien exceptionnel à l’impression aura sans nul doute des retombées positives, pour le secteur de la presse, en proie à des difficultés de tous ordres.
Mesdames et Messieurs les professionnels de la presse, en aidant vos entreprises, le Gouvernement vise à sortir celles-ci de la précarité afin que vous puissiez jouer votre rôle dans la consolidation de la démocratie, de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale. Il en va de même pour la promotion des droits de l’Homme.
Toutefois, je dois attirer votre attention qu’en raison de son impact budgétaire, l’octroi de ce genre d’aide nécessite une concertation entre les départements ministériels concernés. C’est pourquoi, votre demande requiert beaucoup d’attention.
Mesdames et Messieurs, je voudrais pour terminer, féliciter tous les récipiendaires qui recevront tout à l’heure leurs dons. D’avance, je leur demande d’utiliser ces dons à bon escient.
Je souhaite également que pour les prochaines années, en plus des bénéficiaires traditionnels, que le FSDP étende davantage ses prestations à un plus grand nombre d’associations professionnelles et de radios non commerciales appelées communément radios de proximité dont le rôle est éminemment important dans la diffusion de l’information.
Merci à toutes et à tous et à l’année prochaine.
Je vous remercie.
