Le Représentant résident de l'Organisation des Nations-Unies pour l'alimentation et l' agriculture (FAO) en Côte d'Ivoire, Luc Génot, a fait état vendredi à Abidjan de l'initiative d'un plan transfrontalier pour renforcer la sécurité alimentaire et la cohésion sociale entre le Libéria et la Côte d'Ivoire.
M. Génot qui intervenait lors d'un entretien avec des médias a indiqué que le programme vise à renforcer la résilience, la protection communautaire et les capacités de prévention des conflits dans la région transfrontalière des deux pays.
"Ce projet qui est exécuté par un consortium composé de plusieurs organisme devra permettre de consolider de manière dynamique un environnement de paix, de solidarité et de cohésion sociale", a-t-il noté.
"La FAO s'occupe du volet sécurité alimentaire. Il est ici question de certaines actions telles que des champs-écoles, des aménagements de bas-fonds rizicoles", a-t-il précisé.
De l'avis de celui-ci, il y a lieu de s'orienter vers une approche de développement durable en associant aussi les autorités locales et traditionnelles compte tenu de l'envergure du projet.
La phase pilote du programme a été financée par l'Union Européenne à hauteur de 3 millions d'euros soit 1.9 milliards de FCFA, pour sa mise en oeuvre dans 30 villages dont 15 dans chacun des pays.
La région frontalière entre la Côte d'Ivoire et le Liberia a été fragilisée par les longues crises qu'ont connues ces pays.
La mise en place d'un programme transfrontalier devrait ainsi contribuer à apporter un appui à ces pays sur plusieurs plans notamment la sécurité alimentaire, la cohésion sociale, l'accès à la terre qui constitue le principal facteur de production.
Selon une enquête du ministère ivoirien de l'Agriculture, en dépit de tous les efforts il existe toujours des couches de populations très vulnérables et des poches de pauvreté très résistantes dans l'ouest du pays fragilisé par les crises.
Lors d'une rencontre, le représentant technique du ministère ivoirien de l'Agriculture N'Golo Diarrassouba avait estimé que beaucoup d'efforts restait à faire pour créer un environnement de paix et de sécurité foncière "afin de faire de l'ouest de la Côte d'Ivoire un havre de paix et une région économique forte".
M. Génot qui intervenait lors d'un entretien avec des médias a indiqué que le programme vise à renforcer la résilience, la protection communautaire et les capacités de prévention des conflits dans la région transfrontalière des deux pays.
"Ce projet qui est exécuté par un consortium composé de plusieurs organisme devra permettre de consolider de manière dynamique un environnement de paix, de solidarité et de cohésion sociale", a-t-il noté.
"La FAO s'occupe du volet sécurité alimentaire. Il est ici question de certaines actions telles que des champs-écoles, des aménagements de bas-fonds rizicoles", a-t-il précisé.
De l'avis de celui-ci, il y a lieu de s'orienter vers une approche de développement durable en associant aussi les autorités locales et traditionnelles compte tenu de l'envergure du projet.
La phase pilote du programme a été financée par l'Union Européenne à hauteur de 3 millions d'euros soit 1.9 milliards de FCFA, pour sa mise en oeuvre dans 30 villages dont 15 dans chacun des pays.
La région frontalière entre la Côte d'Ivoire et le Liberia a été fragilisée par les longues crises qu'ont connues ces pays.
La mise en place d'un programme transfrontalier devrait ainsi contribuer à apporter un appui à ces pays sur plusieurs plans notamment la sécurité alimentaire, la cohésion sociale, l'accès à la terre qui constitue le principal facteur de production.
Selon une enquête du ministère ivoirien de l'Agriculture, en dépit de tous les efforts il existe toujours des couches de populations très vulnérables et des poches de pauvreté très résistantes dans l'ouest du pays fragilisé par les crises.
Lors d'une rencontre, le représentant technique du ministère ivoirien de l'Agriculture N'Golo Diarrassouba avait estimé que beaucoup d'efforts restait à faire pour créer un environnement de paix et de sécurité foncière "afin de faire de l'ouest de la Côte d'Ivoire un havre de paix et une région économique forte".